Superman: Man of steel

Fantastique – 20px-Flag_of_the_United_States.svg Superman: Man of steel États-Unis 20px-Flag_of_Canada.svg Superman: Man of steel Canada 20px-Flag_of_the_United_Kingdom.svg Superman: Man of steel Royaume-Uni2013 – Réalisé par: Zack Snyder – Produit par: Christopher Nolan – Basé sur: Superman par Jerry Siegel, Joe Shuster – Studios: Legendary Pictures, Syncopy,DC Entertainment – 2h23 – Budget: 225M$ – Avec: Henry Cavill, Amy Adams, Michael Shannon, Kevin Costner, Diane Lane, Laurence Fishburne, Antje Traue, Ayelet Zurer, Christopher Meloni, Russell Crowe

photo Superman: Man of steel

Site officielGoogle+Facebook

Synopsis:

Quelque part dans l’espace, la planète Krypton se meurt de la surexploitation de ses ressources. Au bord de l’implosion, le gouvernement en place est victime d’un coup d’Etat mené par le général Zod. N’y voyant pas d’autres échappatoires, Jor-El (Russel Crowe) et son épouse décident d’envoyer leur fils, premier né naturellement depuis longtemps, sur une planète qu’ils ont repérée.

Zod et sa milice sont condamnés à errer dans la zone fantôme. Kal-El, lui finira par atterrir dans une bourgade du Kansas, Smallville.

Déjà jeune homme, on le retrouve intervenant sur un feu de plateforme pétrolière qui menace la vie de ses ouvriers. Les souvenirs de son enfance, alors qu’il erre sans but semblent le pourchasser et l’entêter (ses camarades, son père décédé, la prise de conscience de ses pouvoirs…)

Il va finalement découvrir sur une expédition polaire, un vaisseau qui lui apprendra son origine et sa raison d’être, tout comme la curieuse et intrépide journaliste Loïs Lane. Mais très vite ils vont déchanter, alors qu’arrive proche de l’orbite de la Lune, un étrange appareil menaçant…

[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=JJZijr7rX_M&w=531&h=298&hd=1]
Superman Man of Steel Trailer

La Petite Critique:

Si les bases du personnage ont été lancées en 1932, Superman a changé au fil des comics, séries télévisées et des films. Il en va de même pour cet opus qui décide de rebattre les cartes et reposer un socle de base. Zack Snyedr (Watchmen, 300) nous donne à voir la chute dramatique de Krypton, et le manque de repère d’ un Clark Kent ressassant son passé (les flash-backs sont omni présents dans le film et évitent le film trop linéaire).

Superman doit ici faire des choix quant à ses origines, son appartenance et donc sauver la Terre ou laisser Krypton renaitre de ses cendres.

Alors qu’il dure 2h20, on regrette certaines ellipses qui auraient pu venir épaissir la psychologie du personnages. La 3D ici n’a vraiment aucun intérêt., beaucoup moins que la brochette de second rôles! A quand le prochain, face au succès: plus d’un million d’entrées en une semaine!

Orphan Black – Season 1 Episode 1

Action – Suspense – 20px-Flag_of_Canada.svg Orphan Black - Season 1 Episode 1 Canada – 2013 – Créée par: Graeme Manson, John Fawcett – Premiere: 30/03/2013 sur Space et BBC America – Avec: Tatiana Maslany, Jordan Gavaris, Dylan Bruce, Maria Doyle Kennedy

Tv.com Space.caBBC America

Synopsis:

Alors que Sarah, orpheline un peu paumée, tente de fuir le mec du moment, avec la cocaïne qui lui appartient, elle croise le regard d’une femme sur le quai qui lui ressemble étrangement. Cette dernière perdue met fin à ses jours en se jetant sous un train!

Choquée, Sarah dans la précipitation part avec les affaires de cette femme pour tenter de comprendre d’où vient cette ressemblance. Et quoi de mieux que de feindre sa propre mort, et incarner Beth disparue?

Si le but de Sarah était au départ de tourner la page, la voici enfermée dans un rôle qui va avoir des conséquences: Beth est officier de police, elle a un petit ami, bref tout une nouvelle vie à gérer. Mais les problèmes ne s’arrêtent pas là, car d’autres doubles ou clones font leur apparition et semblent être la cible d’un mystérieux tueur! D’où viennent ces fille? Quelle est leur origine et pourquoi veut-on les tuer?  

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=do_BCA-vR9E]

La Petite Critique:

Si la série pourrait faire penser à Dollhouse, on va finalement très vite y trouver un autre ton. Le projet canadien, distribué par la BBC donne en effet une atmosphère plus proche des séries britanniques qu’américaines. Tatiana Maslany (Flashpoint) campe le personnage principal, mais aussi tous les clones qu’elle croisera sur sa route. Le tout sans être une révolution se laisse agréablement regardé. La suite au prochain numéro…

Beautiful creatures

Fantastique – Romance – 20px-Flag_of_the_United_States.svg Beautiful creatures Etats-Unis – 2012 – Réalisé par: Richard La Gravenese – Production: Alcon entertainment – Distributin: SND – Budget: 60 M$ – 2h04 – Sortie: 27/02/2013 – Avec: Alden Ehrenreich, Alice Englert, Jeremy Irons, Emma Thompson, Viola Davis

BC_1280_banner Beautiful creatures

http://beautifulcreatures.warnerbros.com/

Synopsis:

Ethan Wake (Alden Ehrenreich), jeune homme qui entre en 1ère cette année, habite la petite ville de Gatlin (sud de la Californie). Alors qu’il a récemment perdu sa mère, il se plonge dans la lecture et notamment celle de livres “interdits” dans une bourgade conservatrice et encrée dans la religion. De puis plusieurs semaines maintenant, ses nuits sont écourtées par des rêves redondant d’une fille mystérieuse, qu’il ne reconnait pas.

Très critique sur sa communauté (12 églises pour une bibliothèque…) il va vite repérer l’arrivée de Lena Duchannes au lycée, nièce du taciturne Macon Ravenwood, dont la famille est à l’origine de la création de la cité. Alors qu’ils n’ont pas vraiment de points communs, les deux jeunes ados vont très vite se rapprocher. Alors qu’ils échangent autour d’un simple pendentif trouvé sur un chemin, ils vont être plonger dans le passé de leurs ancêtres, au moment de la Guerre de Sécession…

Intrigués, ils vont se mettre en quête de réponses, avant que Lena ne doive répondre à l’appel de son destin, celui d’être une enchanteresse de la lumière ou des ténèbres…

[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=6yJUDR7LtKU&w=560&h=315&hd=1]

Petite Critique:

Adaptation du roman du même nom écrit par Kami Garcia et Margaret Stohl, ce film reste un divertissement honnête, sans doute moins affligeant que Twilight… Si le genre “southern gothic” semble être à la mode (The Vampire Diaries, True Blood …), ici ce qui frappe c’est avant tout le regard sur la communauté et ses pratiques sorties d’un autre temps.

Toutefois, comme souvent malheureusement, les effets spéciaux et le côté fantastique sont trop peu exploités et finalement n’apporte que peu d’intérêt dans l’histoire si ce n’est de rendre plus compliquée la relation amoureuse des personnages. Les personnages secondaires manquent eux de ligne et d’épaisseur au point qu’on sait pas vraiment ce qui est le bien ou le mal dans cette histoire.

On notera un BO assurée pour l’essentiel par thenewno2 (UK-USA) dont la musique sur fond de guitare et synthé colle parfaitement avec le film.

Django Unchained

Western – 20px-Flag_of_the_United_States.svg Django Unchained Etats-Unis – 2012 – Réalisé par: Quentin TarantinoDistribution: The Weinstein Company, Columbia Pictures – 2h45 – Avec: Jamie Foxx, Christoph Waltz, Leonardo DiCaprio, Kerry Washington, Samuel L. Jackson, Walton Goggins, Dennis Christopher, James Remar, Michael Parks, Don Johnson

http://unchainedmovie.com/

Synopsis:

1858, deux ans avant la “Guerre de Sécession”. Django (Jamie Foxx) est un esclave noir trainé par des négriers du sud pour être vendu. Il est retrouvé par un ancien dentiste allemand, Dr King Shultz (Waltz), reconverti en chasseur de primes qui a besoin de lui pour reconnaitre sa prochaine cible.

Les deux hommes vont peu à peu trouver un terrain d’entente: Django devient l’assistant du chasseur, alors que ce dernier promet d’aider l’esclave à sauver sa femme, détenue dans une grande propriété cotonnière tenue par le raciste Calvin Candie (DiCaprio).

[youtube http://www.youtube.com/watch?v=eUdM9vrCbow]

La Petite Critique:

Quentin Tarantino s’inspirant d’un western spaghetti, propose d’utiliser le genre et de le transposer au temps de la ségrégation américaine. Il nous dépeint ainsi des personnages du sud plus que vomissant tant leur considération pour les noirs est atterrante, à cette époque dans le sud américain. Le duo Foxx- Waltz fonctionne ici plutôt bien.

Mais voilà, la haine et la violence même du racisme, nécessitait-elle d’être effacée au moins partiellement par l’accumulation d’effets gratuits d’explosion de cervelles ou de corps volant? Car les scènes en question ont plutôt entrainé des éclats de rire dans la salle de ciné, plutôt que l’interrogation. Le réalisateur semble ne pas vouloir s’exprimer sur le traitement de la violence dans ses films, mais on reste bien circonspect à la fin du film: oui c’et une diatribe sur l’esclavage, oui Tarantino ne semble pas pouvoir s’empêcher de rajouter de la violence à un propos qui l’est déjà!

Ice Age: Continental Drift

Titre français: L’âge de glace, la dérive des continents – Animation/ aventure – Réalisé par: Steve Martino, Mike Thurmeier – Sortie le 16/06/2012 – 1h44 – Budget: 95 M$ – Avec les voix de: Gérard Lanvin, Vincent Cassel,Élie Semoun, Lisa Caruso (…)ice-age-4-continental-drift-poster-ice-age-4-30601567-600-480 Ice Age: Continental Drift

Synopsis:

Alors que Scrat court éternellement après son gland fétiche, il fait une chute au centre de la Terre et sa bêtise va entrainer l’inexorable craquement de la croute terrestre, et la dérive des continents…

Alors que Manny, le mammouth, est lui préoccupé par sa fille qui à l’âge de l’adolescence est attiré par ses congénères masculins, il va se voir séparer de sa famille, après la chute d’un morceau de banquise qui va les faire dériver, lui et ses amis Diego et Sid.

Leur retour est donc incertain, mais de toute évidence semé d’embuches, après la rencontre d’une horde de pirates, menés par le gorille Gutt…

[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=D6yFv3MkOFw&w=586&h=329&hd=1]

Petite Critique:

4ème opus de la série, ce filme d’animation reste dans la tradition de nous refaire découvrir la préhistoire de manière toujours drôle et caustique. Manny se retrouve une fois de plus entrainé malgré lui dans une folle aventure, de laquelle il doit revenir s’il veut retrouver sa famille.

Scratch n’est plus un personnage annexe mais celui dont les actes entrainent des conséquences dramatiques et Sid toujours déjanté est affublé de sa grand-mère autant voir plus loufoque! C’est toujours drôle et cela vient boucler une série lancée il y a tout juste 10 ans!

Chronicle

Fantastique – 2012 – 20px-Flag_of_the_United_States.svg Chronicle Etats-Unis – Réalisé par: Josh Trank – 1h23 – Davis Entertainment – Distribué par: 20th Century Fox – Budget: 15 M$ – Avec: Dane DeHaan, Michael B. Jordan, Michael Kelly, Alex Russell

Chronicle_c Chronicle

Synopsis:

Andrew Detmer est un adolescent plus que renfermé, qui vit et regarde le monde au travers de sa caméra qu’il a en permanence avec lui. Elle lui permet d’oublier sa mère malade, son père alcoolique et violent et sa grande impopularité au lycée…

Matt son cousin tente désespérément de le sortir de son marasme ambiant, avec son ami Steve. Ils vont notamment se retrouver à une rave party de laquelle ils vont vite s’extirper, un peu alcoolisés, en faisant une découverte étrange dans un fossé. Un bruit, une lueur inexplicables les attirent…

Puis c’est le réveil, des jeux, a priori anodins, des expériences, et les trois jeunes garçons se découvrent peu à peu de nouvelles facultés! Euphoriques sur le départ, leurs propres personnalités s’en voient surtout exacerbées, à commencer par celle d’ Andrew qui semble décider à prendre sa revanche sur le monde….

[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=i-M5Qx57_UU&w=570&h=320&hd=1]

Petite Critique:

Si le jeune réalisateur (28 ans) tente ici de porter un regard sur des adolescents somme toute imparfaits, on ne comprend finalement pas trop ici l’apport du fantastique! D’autant qu’aucune explication n’est vraiment donné, à nous spectateurs de deviner d’où viennent les pouvoirs et pourquoi aussi ils sont tombés dessus…

Si la première partie du film est intéressante, une seconde ou Andrew bascule dans le côté obscur de son pouvoir est d’un ennui mortel, d’abord parce que justement cela bascule froidement sans raison, comme cette voiture qu’il jette dans le fossé, même si on comprend son adolescence difficile. Le tout est un série B pour ados que je suis bien content d’avoir vu en vidéo plutôt qu’au ciné!