Quelque part dans Berlin, l’agent anti-terroriste Eve Baird en pleine mission, tombe sur Flynn Carsen (Noah Wyle) qui est sur le point de découvrir un nouvel artéfact. De retour aux Etats-Unis, elle reçoit une mystérieuse lettre l’invitant à se rendre à la Bibliothèque. Eve fait rapidement le lien avec Flynn, qui se présente comme LE bibliothécaire.
Arrivée, elle découvre peu à peu un univers insoupçonné, celui des objets anciens, porteurs de pouvoirs qui ne doivent pas tomber entre toutes les mains. Elle se voit assigner la mission de protéger Flynn, en tant que gardienne!
Ils vont ensemble partir à la recherche des potentielles recrues, qui sont victimes de crimes ces derniers jours: Cassandra transforme le réel en équation pour résoudre les problèmes, Jake est expert en arts anciens, Ezekiel lui est un voleur de haute voltige.
Mais non préparés, pourront-ils faire le poids face à une organisation qui a déjà entre ses mains la couronne du Roi Arthur et l’épée Excalibur? La Fraternité a en effet le dessein de libérer toute la magie possible et s’emparer de grands pouvoirs. C’est à Londres que les jeunes apprentis devront encore se battre et éviter le pire…
Dans la droite ligne des téléfilms de la chaine, avec déjà Wyle comme personnage central, The Librarians est une série fantastique mêlant aventure et humour. C’est un programme orienté familial, qui devrait contenter un large public. Le pilote en deux parties (2 premiers épisodes) autour des couronnes été épée d’Arhur, ont réuni quelques 5,4M de personnes, soit le meilleur démarrage d’une série cette saison!
Niccolo Polo, son frère et son fils, sont arrêtés par les soldats, alors qu’ils commercent illicitement aux portes du royaume de Kublai Kan, qui règne sur la Mongolie actuelle. S’il est autorisé à poursuivre des affaires qui ouvrent vers l’ouest l’empire et l’influence de l’empereur, Niccolo n’hésite pas à vendre son fils comme esclave pour sauver sa peau!
Le jeune Marco, à un âge où il souhaitait voyager et vivre des aventures, se retrouve dans les geôles d’un pays où il ne connaît rien! Mais son côté franc et espiègle va séduire. Il va être pris en main régulièrement par Hundred Eyes (100 yeux), un moine aveugle qui tente de lui enseigner les rudiments du combat, mais surtout la culture du royaume.
Petit à petit, il va être mêlé à la vie du palais, et devenir les yeux candides et observateurs de Kublai Kan, alors que ce dernier ne fait confiance à personne. Le climat politique intérieur est tendu, avec des complots qui se trament et la guerre avec le royaume de Chine couve au frontière de l’empire. Marco Polo doit faire preuve de toute sa ruse, pour continuer à rester en vie…
Initialement prévue pour la chaine Starz, c’est finalement Netflix qui s’est accaparée ce projet, avec un budget collossal de 90 M¨$ § Mais ne cédons pas aux comparaisons hasardeuses : non Marco Polo n’est pas le « Game Of Thrones » de Netflix! Il n’empêche que la série vaut le détour pour ses qualités visuelles (ses décors), sa trame d’intrigues politico-militaire et ses personnages!
Inspiré du « divertissement du monde » écrit par Marco Polo, la série s’attarde sur la relation qui s’établit entre le jeune explorateur Vénitien et l’empereur Kublaï Khan régnant entre la Mongolie et la Chine de l’époque (1279-1294).
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Annoncé depuis 2 ans, le film « Seventh Son » (Adaptation des romans The Wardstone chronicles parJoseph Delaney), une première bande annonce révèle enfin la teneur du film résolument Fantasy qui sortira sur les écrans début 2015 (et qui sera très certainement suivi d’autres opus…). A son casting: Jeff Bridges et Julian Moore dans le rôle de la méchante sorcière…
Dans un futur pas si lointain, les hommes sont cantonnés dans quelques villes-citadelles, à l’abri d’un ennemi puissant: l’armée d’anges inférieurs, influencés l’Archange Gabriel. Depuis 25 ans, sans que l’on sache pourquoi, Dieu a disparu, et ses « enfants » s’en prennent à l’humanité, indigne de son amour…
Sans autorité pour les commander tous, ils ont décidé d’investir la Terre et tuer chaque être humain: la « Guerre d’Extinction » est lancée! Dans cette conquête, la grande majorité de l’humanité a péri. Ne subsistent que les plus forts, comme à Vega, cette cité gouvernée, avec un ordre clanique proche de l’Empire, sur les ruines de Las Vegas…
Le sénat est ainsi présidé par les représentants des 11 familles les plus importantes, deux d’entre eux sont élevés au rang de Consul et Lord de la Ville, respectivement David Whele (Anthony Head), le Général Edward Riesen (Alan Dale).
Alors que globalement les Anges supérieurs sont restés neutres, Michael (Tom Wisdom), lui a choisi de porter son attention sur les hommes, et les aide à se défendre.
Dans une enceinte longue de 25 miles, « le mur » est armé et la cité compte une brigade d « Archangel corps » dédié à la sécurité de la bourgeoisie de Vega. Alex Lannon qui a rejoint cet ordre depuis plusieurs années, va se trouver affubler d’un rôle dont il se serait bien passé: celui de messie!
Car étrangement, la foi reste solide chez les hommes qui attendent l’avènement d’un héros, celui qui épargné par les anges vindicatifs, les conduira vers la libération…
Avec cette adaptation d’un film de 2010 (Legion), un filml de série B, Syfy offre l’occasion d’explorer un monde uchronique dans lequel ce sont les anges, habituellement associé au Bien, qui décident de s’attaquer à l’homme, jugé indigne de l’amour d’un Dieu (comment cela est-il possible ?) disparu.
C’est surtout l’occasion d’enfermer un microcosme politique, bourgeois ou fanatique religieux, pour les renvoyer à leurs contradictions (guerre et amour des personnages envers les anges), leur assise du pouvoir et leur perversité. Une série qui après quelques 8 épisodes se laisse suivre avec plaisir.
A la fin des années 1980, Peter Quill n’est encore qu’un petit garçon, quand il doit faire face à la mort brutale de sa mère, terrassée par un cancer. Courant pour fuir, seul avec son walkman, il est enlevé par les Ravagers, un groupe de brigands de l’espace, dirigé par Yondu Udonta.
26 ans ont passé et Quill (Chris Pratt) tente de s’imposer sous le nom de Star-Lord. Il est en quête d’une orbe sur la planète dévastée Morag. Alors qu’il parvient de justesse à l’obtenir, il est rejoint par les soldats de Korath, chef des armées de Ronan, un fanatique de Kree qui cherche par tous les moyens à se venger de l’alliance et du traité de paix en cours.
De retour sur Xandar, monde du Nova corps., Quill tente de revendre son orbe. Mais les évènements vont conduire l’acheteur à refuser et mettre en garde le jeune aventurier sur ce qu’il doit faire. C’est alors qu’en pleine rue, il est pris entre Gamora, à la solde de Ronan, et Raccoon Rocket et Groot, qui voudraient obtenir une rançon pour sa capture… Résultat des courses: tous les 4 sont expédiés sur le centre pénitentiaire pour y purger une peine d’emprisonnement.
Loin de faire figure de héros, les 4 détenus passent pour des loosers à tout point de vue, et surtout Gamora qui est une proie inattendue dans cette prison emplie des victimes de Ronan… Alors que rien ne les rattache, ils vont devoir composer et s’entendre pour fuir, en compagnie d’un rustre guerrier au nom de Drax…
Beaucoup plus loin, Ronan rend visite à celui qui commande de retrouver les orbes perdues: Thanos!
A bord du Milano, les cinq comparses partent vers Knowhere, un monde de parias construit dans la tête d’un géant célestial (dont est issu Galactus). Là vit celui que l’on appelle Le Collectionneur, si vieux qu’il a accumulé différents trésors ou espèces (y compris des super-héros). Très vite le groupe comprend qu’il n’est pas capable de contrôler ce qui se révèle être une des 5 pierres d’infinité.
Prévenu par un Drax obsédé de vengeance, Ronan balaye tout et s’empare facilement de la pierre et laisse Gamora pour morte! C’est sur l’aide des Ravagers qu’il va falloir maintenant compter, alors que Ronan prend pleinement conscience de ce que peut lui offrir la mystérieuse pierre… Tous volent vers Xandara menacée…
La Petite Critique
Bien qu’ils ne soient pas les super-héros les plus populaires de l’univers Marvel, ils apportent une touche d’humour bienvenue alors que l’intrigue de Thanos et du Gant de l’Infini se met en place, très attendue par les fans. Le film offre un bon rythme : deux heures d’un mélange de rires, d’action, d’effets spéciaux et de musique, avec une bande-son parfaitement choisie grâce au baladeur de Quill, ancré dans le soul-funk des années 80.
La suite est impatiemment attendue, et Disney envisage même une possible franchise (en animation ou en série ?). Elle s’inscrira dans la continuité de l’univers Marvel, avec des histoires entrelacées, ou peut-être dans une suite qui explorera les origines extraterrestres de Quill ou introduira « Nova », un héros bien plus célèbre et grand absent de ce film. Et si vous restez assis après le long générique, vous aurez la surprise de découvrir un personnage inattendu, plus proche de Donald : Howard The Duck !
