Jimmy’ Hall

Comédie dramatique – 20px-Flag_of_the_United_Kingdom.svg Jimmy’ Hall Royaume-Uni – 2014 – Réalisé: Ken Loach – Distribution: Le Pacte – Sortie: 2/07/2014 – Durée: 1h49 – Avec: Barry Ward, Simone Kirby, Jim NortonJimmy%27s_Hall_poster Jimmy’ Hall

Synopsis:

10 ans après la guerre civile en Irlande (1922-1923) qui a vu la prise pouvoir de l’Irish Free State, soumis au pouvoir de l’Angleterre, Jimmy Gralton revient dans son village natif, après un exil aux Etats-Unis. Dans la pauvreté de l’après crash de 1929, la pauvreté et le chômage touche encore plus durement ceux qui se rattachent à leur identité irlandaise.

Jimmy retrouve ses amis d’enfance, ses acolytes avec lesquels il avait imaginé un club ouvert et libre d’expression, avec la propagation de la culture irlandaise. Celui-ci avait déjà été fermé, sur décisions de justice.

Mais 10 ans après donc, les jeunes ados en désespérance, voient ce lieu comme un symbole et incitent Jimmy à rouvrir ce lieu mythifié.

Alors qu’il s’était juré de rester dans le rang, Jimmy Gralton décide de relancer son club et propose des temps de lecture, musique, peinture, sur fond de musique jazz importée. Il va bientôt faire face à l’acharnement du prêtre local et des autorités politiques, en mal d’assoir leur autorité sur le pays…

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La Petite Critique:

Après “The wind that shakes the Barkley” (2006), Ken Loach revient engagé sur les tensions irlando-anglaises des années 30. Sans montrer aucune violence directe, il dépeint le déchirement d’un peuple, qui se raccroche à ses valeurs, en subissant le nivelage du Royaume-Uni.

Il amène aussi à réfléchir sur la question de la Finance et de sa gestion qui a conduit au black tuesday et ses vagues de licenciements dès 1929, une leçon qu’on ne semble pas avoir retenue, tant la crise de 2008 semble en être un écho lointain…

The Angel’s share

Dramédie – 2012 – Grande-Bretagne – Réalisé par: Ken Loach – 1h46 – Production: Sixteen films, Why Not prod., Wild Bunch – Avec: Paul Brannigan, John Henshaw, William Ruane, Gary Maitland

the-angels-share The Angel’s share

Synopsis:

Albert, alcoolique pas très futé, manque de se faire écraser par un train, alors qu’il est ivre. Mo, elle est une cleptomane pas très douée qui se fait prendre régulièrement la main dans le sac. Robbie, futur papa, doit assumer ses erreurs de jeunesse, et son goût pour la drogue et la violence. Ces personnages; tout comme Rhino, vous se retrouver autour d’un éducateur, Harry, après avoir été condamnés à des peines de travaux d’intérêts généraux,

Investi dans sa fonction, Harry emmène la petite troupe en visite d’une distillerie et va faire naitre sans le vouloir, une culture du Whisky auprès de ces délinquants paumés. Mais alors que Robbie tente d’échapper à la fatalité et aux menaces de son quartier, il est en permanence rattraper. Il voit un espoir d’ échappatoire dans l’annonce d’une vente aux enchères d’un très rare whisky. Avec ses nouveaux amis, il va partir dans une quête loufoque…

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 Petite Critique:

Présenté au Festival de Cannes cette année, le film a remporté une palmes, mais la méritait-il vraiment? Si le film chronique d’une génération un peu décalée en marge de la société britannique, Ken Loach réussit un petit film mélangeant le drame et la comédie habilement.

Mais celui-ci fait décrocher de brefs sourires, pas des éclats, et on ressort peu ému de la situation des uns ou des autres personnages.Tout cela manque bien de profondeur et de réalisme dans les sentiments. Le prix pour The winds that shake the barley était sans doute bien plus méritée!

The Wind That Shakes the Barley

Titre français : “Le vent se lève” – Long-métrage britannique . Genre : Drame , Historique – Réalisateur: Ken Laoch – Durée : 02h04min – Année de production : 2005 – Distributeur : Diaphana Films

015756 The Wind That Shakes the BarleyThe Plot :

In the early 20’s, Irish seem to be nothing but amusement for English military who dont hesistate to torturate in order to create a fear atosphere. Damien is decided to leave is country to study medecine… But his road reminds him the condition of his people… He won’t go.. He will prefer join his friends to fund an army to resist the Invader, his brother Teddy is already an active IRA member. But the frontier between relationships fades away as the war continues. Who is right and who is wrong, wen all are animated with passion, all fighting for freedm, but in opposite ways…

How it makes me feel:

Depainting war horror in its cuel easyness, Ken Loach makes us travel through History to understand a country

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that has suffered pain and diseas, because of a lack of food and doctors…It sounds highly ironic how good an artist can be denouncing atrocity and crimes, making you fatally hate war, and then watch the tv news to realise that Peoples are not ready to evolve… What finally made already Picasso 70 years ago with Guernica is still necessary! It allows us to take conscience, that’s the role of art, above beautyness. The title of the movie is a reference to a song in which the main character, a young rebel abandonsed his relashionship and sank into violence associated with 1798 rebelion in Ireland. For those who don’t know yet, it’s just the "Palme d’Or 2006"…

The site to know a little bit more…