The Grand Budapest Hotel

Comédie – 20px-Flag_of_the_United_Kingdom.svg The Grand Budapest Hotel Royaume-Uni/ 20px-Flag_of_Germany.svg The Grand Budapest Hotel AllemagneRéalisé par: Wes Anderson – Scénarion: Wes Anderson – Production: American Empirical Pictures, Indian Paintbrush, Scott Rudin Productions, Studio Babelsberg – Sortie: 27/02/2013 – Durée: 1h39 – Avec: Ralph Fiennes, F. Murray Abraham, Mathieu Amalric, Adrien Brody, Willem Dafoe, Jeff Goldblum, Jude Law, Harvey Keitel, Bill Murray, Edward Norton, Saoirse Ronan, Léa Seydoux, Jason Schwartzman, Tilda Swinton, Tom Wilkinson, Owen Wilson

the-grand-budapest-hotel-poster The Grand Budapest Hotel

http://www.grandbudapesthotel.com/

Synopsis:

Le film s’ouvre sur l’arrivée d’une jeune femme dans un cimetière de la ville de la fictive République de Zubrovka. Devant la stèle de “l’auteur”, elle commence à lire son roman, The Grand Budapest Hotel, qui la plonge dans les années 60.

Premier bond dans le passé: à cet époque, l’établissement a perdu de sa superbe et seuls quelques riches retraités se retrouvent en période creuse pour mieux s’isoler dans l’immense bâtisse qui offre encore des soins thermaux. Parmi les clients, l’auteur curieux qui s’intéresse à un personnage encore plus solitaire que les autres. Cet homme, Moustafa Zero, n’est autre que l’actuel propriétaire de l’hôtel, qui va accepter de raconter comment il en est arrivé là.

Deuxième bon dans le passé: on retrouve dans les années 30, Zéro qui vient d’intégrer pour un essai, les fonctions de groom dans l’hôtel qui grouille de personnages pittoresques. Tous ne sont là que par attirance envers le concierge général, M. Gustave qui s’attire les galanteries des vieilles femmes riches notamment. Gustave et Zero vont voir leur vie basculer à l’annonce du décès d’une des plus célèbre cliente, Madame D., dont l’héritage fait l’objet de toutes les manigances…

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The Grand Budapest Hotel – Trailer

La Petite Critique:

Il sera très difficile de vous résumer quelques lignes le pitch de ce film sans risquer de se perdre dans les effets narratifs: ce film est fait pour être vu, plus que lu! Inspiré des œuvres de Stefan Zweig, Wes Anderson nous fait voyager dans un pays virtuel d’une Europe de l’Est, au travers d’une avalanche de situations loufoques, menées de main de maitre par une pléiade d’acteurs de premier rang!

Tout est frais, drôle sans être lourd, doucement décalé, une salade de comédie et d’animation très originale qui fera de ce film un OVNI des plus intéressants!

Sherlock Holmes: a game of Shadows

Action/aventure – 20px-Flag_of_the_United_States.svg Sherlock Holmes: a game of Shadows États-Unis – 2011 – Réalisé par: Guy Ritchie – Produit par: Legendary Pictures, Playtone, Lin Pictures, Village Roadshow Pictures, Silver Picture – 2h09 – Avec: Robert Downey Jr., Jude Law, Jared Harris, Noomi Rapace

jude-law-poster_thumb Sherlock Holmes: a game of Shadowssherlock-holmes-poster_thumb Sherlock Holmes: a game of Shadowsrobert-downey-jr-poster_thumb Sherlock Holmes: a game of Shadows

Synopsis:

Fin du 19ème siècle, les tensions vont grandissantes dans toute l’Europe au bord de l’implosion. Aux tensions politiques vont bientôt se joindre la peur des attentats. Les uns accusent les extremes-nationalistes, les autres les anarchistes de tuer des innocents.

Alors que tout semble opposé la France et l’Allemagne, Sherlock Holmes lui amasse des informations régulièrement pour démasquer celui qui se cache réellement derrière la course effrénée à l’armement qui embrase le continent.

Après avoir appréhendé Adler, qui livre un paquet des plus suspects, il ne tarde pas à embarquer son compagnon le Dr Watson, dans un périple en Angleterre, France, Allemagne et Suisse, à la poursuite du plus grand criminel de l’époque: Moriarty…

videocapture-77udywdkgve Sherlock Holmes: a game of Shadows

Petite Critique:

Avec ce second opus de Sherlock Holmes, Guy Richie renoue avec le cinéma populaire et accessible. Suivant le premier épisode, le duo Holmes/Watson partent tambour battant dans l’Europe pour déjouer les plans de Moriarty. On retrouve les peintures d’un monde industriel froid et sombres avec des couleurs entre gris et bleu. L’action elle est au rendez-vous, même si on aimerait un tantinet plus de réalisme, tellement les scènes s’enchainent dans une totale invraisemblance. Cela a le mérite de divertir et de retrouver le couple Downey Jr/ Law toujours aussi sympathique!

Contagion

Genre : Thriller / Action 20px-Flag_of_the_United_States.svg Contagion États-Unis/ 20px-Flag_of_the_United_Arab_Emirates.svg Contagion Émirats arabes unis – 2011 – Durée: 1h45 – Réalisé par: Steven Soderbergh – Production: Double Feature Films / Participant Media / Abu Dhabi Media / Regency Enterprises / Warner Bros – Budget: 60 M$ – Avec: Matt Damon, Kate Winslet, Marion Cotillard, Jude Law, Gwyneth Paltrow, Laurence Fishburne

Note : 2 sur 5.
contagion-movie-poster-001-1024x819 Contagion

Synopsis :

Beth Emhoff rentre d’un déplacement professionnel à Hong-Kong et succombe rapidement à une maladie, tout comme son fils, laissant son mari Thomas veuf. Partout dans le monde, des cas semblables sont signalés, alertant l’OMS et le CDC américain.

La contagion s’étend rapidement, poussant les professionnels de santé à rechercher l’origine du virus, avec une épidémiologiste envoyée en Asie. À Atlanta, le Dr Ellis Cheever, assisté par le Dr Mears envoyée à Chicago, lutte pour contenir la pandémie, cherchant à éviter une répétition du désastre H1N1.

L’information peine à rester confidentielle et la panique gagne rapidement les populations, alimentée par les reportages d’un blogueur se faisant passer pour un journaliste et qui alimente la théorie du complot.

Ces différents destins s’entrelacent dans un scénario apocalyptique qui résonne avec de nombreuses réalités.

Contagion movie trailer

La Petite Critique :

Doté d’un casting exceptionnel et d’un scénario à la hauteur des grands films de l’été, « Contagion » a de quoi séduire un vaste public. Cependant, cela ne suffit pas. En dépeignant avec réalisme une potentielle pandémie, le film souffre d’un manque d’engagement. Qu’apporte-t-il de plus qu’un autre film catastrophe?

Certes, il a le mérite de révéler les coulisses avec des chercheurs de diverses organisations « officielles ». Toutefois, Soderbergh semble ignorer complètement (est-ce volontaire?) l’existence et l’influence économique des grands groupes pharmaceutiques dans cette trame.

Quant au casting international, pourquoi ne pas en profiter pour raconter des histoires du monde entier? Malheureusement, Soderbergh se concentre de façon égocentrique uniquement sur le cas américain, ce qui devient rapidement exaspérant. Ainsi, ce film sans véritable profondeur sera vite oublié.

Sherlock Holmes : un duo qui fonctionne

Date de sortie cinéma : 3/02/2010 – Réalisé par Guy Ritchie – Avec Robert Downey Jr., Jude Law, Mark Strong – Long-métrage américano-britannico-australien – Genre : Action, Aventure – Durée : 2h08 min – Année de production : 2008 – Distributeur : Warner Bros. France

19126697 Sherlock Holmes : un duo qui fonctionne19155593 Sherlock Holmes : un duo qui fonctionne

Synopsis :

Holmes est un loup solitaire qui ne supporte à peu prêt personne, sauf son acolyte, le Dr Watson et son chien à qui il fait subir les plus improbables expériences. Blasé de sa vie et du manque d’aventure, il va se focaliser sur une enquête qui paraitrait simple, à résoudre, si l’ennemi Blackwood n’était pas aussi rusé et vicieux que lui… Le plus grand des détectives se lance à son assaut avec ruse et humour dans les rues de Londres…

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19145074 Sherlock Holmes : un duo qui fonctionneimage5b45d43b20704 Sherlock Holmes : un duo qui fonctionne

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Petite Critique :

Plus connu pour avoir été le Monsieur Madonna à la ville, Guy Ritchie qui avait réalisé “Arnaques, Crimes et Botanique” ou encore “Snatch” se lance dans un film grand public, avec il faut le dire succès! Réunissant à l’écran Downey Jr et Law, un duo qui fonctionne plus que bien,,il nous plonge dans le Londres de la fin du 19ème siècle, sombre et e cours d’industrialisation, pour faire renaitre le mythologique Sherlock Holmes à l’écran. On passera des effets un peu poussif, et inutile dans des scènes de combat, mais on se prend à vouloir une suite aux aventures du détective auquel aucune énigme ne résiste…