Monsters University

Animation – 2013 – 20px-Flag_of_the_United_States.svg Monsters University Etats-Unis – Réalisé par: Dan Scanlon – Studios: Disney pictures, Pixar – 1h43 – Budget: 200 M$ – Avec les voix de : Billy Crystal, John Goodman, Steve BuscemiMonsters_University_poster_3 Monsters University

http://monstersuniversity.com/edu/

Synopsis:

Pendant un voyage scolaire, Michael “Mike” Wazowski, un monstre cyclope vert de 6 ans, fait la découverte de l’usine à cauchemars pour les enfants. Moqué par ses camarades, il va franchir l’interdit en entrant dans la chambre d’un enfant avec un monstre.

Cette expérience va le marquer et l’inciter à redoubler d’efforts pour devenir un “scarer” (ceux qui font peur). Une dizaine d’années plus tard, arborant la casquette mythique de son héros, Mike débarque à l’université, celle de tous ses rêves, la Monsters University!

Très vite il va se retrouver nez-à-nez avec Sulley, un gros yeti bleu, juste là parce que c’est la tradition familiale qui le veut. Mike est un bûcheur et donne toutes les réponses qui lui valent de très bonnes notes, mais voilà il finira exclu lors d’une rixe avec Sulley, par une autoritaire directrice, Hardscrabble.

En recherche de reconnaissance et d’acceptation, Mike comme Sulley vont devoir faire équipe, dans un tournoi d’épouvante, et prouver qu’ils savent faire peur…

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La Petite Critique:

Disney et Pixar renoue avec leurs deux personnages, de Monsters Inc. On les retrouve ici au moment de leur rencontre, et dans leurs apprentissages à faire peur. C’est bon, c’est drôle, un tantinet décalé, bref du Pixar! On sera peut-être plus surpris par le court-métrage du début est des plus sympathique avec une histoire d’amour entre deux parapluies qui se croisent dans la rue…Ah n’oubliez pas: on ne sort pas avant la fin du générique… 

Flight

Comédie dramatique – 20px-Flag_of_the_United_States.svg Flight Etats-Unis – 2012 – Réalisé par: Robert Zemeckis – 2h20 – Production: Paramount pictures, Image movers – Sortie: 13/02/2013 – Avec: Denzel Washington, John Goodman, Don Cheadle, Bruce Greenwood, Kelly Reilly

Flight_film_poster Flight

http://www.paramount.com/flight/

Synopsis:

Orlando, le 14 octobre 2011, le capitaine William “Whip” Whitaker (Denzel Washington) émerge d’une courte nuit de sexe, alcool et drogue au petit matin, partagée avec une de ses collègues. Moins de deux heures plus tard, il prend les commandes du SouthJet 227 à destination d’Atlanta.

Après avoir slalomé entre deux perturbations, le vol semble se dérouler sans encombres. Mais alors qu’il termine sa nuit, Whip est réveillé par son second: une avarie perturbe la stabilité de l’avion. Avec calme et gestion de la crise, le pilote parviendra à faire atterrir l’appareil en rase campagne.

La catastrophe sera limitée, même si des morts sont à déplorer, et bientôt les médias font du pilote un héros. Du moins tant que ne remonte pas à la surface ses difficultés et son déni de dépendance qui semble bel et bien commander toute sa vie… Sa rencontre avec Nicole, une toxicomane en rechute, va-t-elle seulement l’influencer?

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La Petite Critique

Robert Zemeckis arrive là où on ne l’attend pas: Back to the future, Roger Rabbit (dont la suite est programmée pour 2014!), Forrest Gump ou Beowulf, sont quelques uns de ses succès. Après 10 années entre fantastique et animation, il vient poser sa caméra sur le personnage de Whip, un alcoolique arrogant dans le déni, et dépeint l’omniprésence de la drogue qui régit son mode de vie.

Tout autant héros que coupable, on sort du film sans vraiment ressentir d’antipathie envers Whip… On ne sait même que trop penser de la multiplicité de références religieuses, souvent décalées de ce côté de l’Atlantique, qui finit par être le seul salut en bout de course pour cette homme qui a sombré au détriment de ceux qui l’entourait… Moins un pamphlet qu’un coup de griffe sur les conséquences et l’emprisonnement dans l’alcool, le film s’il se laisse regarder, sera vite oublié!

Extremely Loud and Incredibly Close

Drame – 20px-Flag_of_the_United_States.svg Extremely Loud and Incredibly Close Etats-Unis – 2011 – 2h09 – Réalisé par: Stephen Daldry – Adaptée du roman de: Jonathan Safran Foer – Production: Paramount Pictures/ Scott Rudin Prod./ Warner Bros. pictures – Budget: 40 M$ – Avec: Tom Hanks, Sandra Bullock, Thomas Horn, John Goodman

extremely_loud_and_incredibly_close Extremely Loud and Incredibly Close

Synopsis:

Oscar Shell a 11 ans déborde d’imagination mais souffre aussi d’un syndrome qui rend souvent difficile la communication avec son entourage. Un an après la disparition tragique de son père dans les attenants du 11 septembre, il retrouve dans ses affaires une clef qu’il pense être un dernier message laissé.

Il va alors se mettre en tête de rechercher ce que peut ouvrir cette clé, tout comme les missions que lui confiaient son père, à la recherche d’objets simples au travers de la ville, pour l’obliger à sortir et communiquer.

Cette quête va emmener Oscar dans les rues de New-York à la rencontre de famille souvent endeuillées, armé d’un appareil photo et de souvenirs d’une dernière. Mais au fur et à mesure qu’il semble se rapprocher de son but, les souvenirs de la dernière journée de son père et un terrible secret se font de plus en plus présents…

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Petite Critique:

Abordant avec une grande décence les attentats, le réalisateur de Billy Elliott se penche avec émotion sur ceux qui restent après une tragédie, avec leurs traumatismes. Il est l’occasion d’un duo fort entre Thomas Horn (Oscar) et  sa mère (Sandra Bullock) qui sont tout à la fois dans une tension forte, et que pourtant tout rapproche. Un très beau film qui se clôt sur la construction onirique du recueil d’Oscar de toutes ses rencontres effectuées…