Ciné-concert: City Lights

Muet/ Comédie dramatique – 20px-Flag_of_the_United_States.svg Ciné-concert: City Lights Etats-Unis – 1931 – Réalisé par: Charlie ChaplinBudget: 1,5M$ – Musique: Charlie Chaplin, José Padilla – Avec: Charlie Chaplin, Virginia Cherrill, Florence Lee, Harry Myers, Al Ernest Garcia

Synopsis:city_lights_3_imagelarge Ciné-concert: City Lights

La ville est en fête, au moment de la célébration d’une statue imposante pour la Paix. Après les discours officiels, c’est au tour du drap d’être enlevé, pour révélé… Un vagabond endormi dans les bras d’une statue composant un triptyque. Réveillé par les officiels choqués, il tente avec maladresse de fuir…

Sur son chemin, il croise une vendeuse de fleur, qu’il tente de séduire. Mais le vagabond comprend peu à peu que la jeune et belle femme, est aveugle. Malgré sa différence, le vagabond est déjà sous le charme mais doit partir.

Poursuivant son périple dans une ville où déjà les voitures s’imposent, il cherche un endroit où passer la nuit. Il se dit que les bancs au bord du canal peuvent être confortables. Mais voilà que son “voisin” ivre tente de se jeter à l’eau! Le vagabond spontanément tente de le raisonner de lui dire à quel point la vie vaut la peine d’être vécu… Résigné, après être tombé dans la rivière, l’inconnu, se révèle être un milliardaire qui prend le vagabond comme compagnon pour la nuit…

Au réveil, ayant oublié, le vagabond mis à la porte, va tenter de retrouver sa jeune vendeuse. Il découvre alors que malade, elle a des difficultés financières. N’écoutant que son amour, fou, il va s’essayer à différents métiers, jusqu’à la boxe pour récolter de l’argent…

Le petit plus?

L’Auditorium de Lyon, présentait ce samedi dans le cadre des Ciné-concerts symphoniques, l’œuvre de Chaplin, accompagnée par un ensemble de l’Orchestre National de Lyon! Plus qu’une simple projection d’un film, la musique en direct nous offre une sonorité que les bandes même restaurées auraient du mal à rendre.

Sous la direction de Timothy Brock, on comprend d’autant plus le rôle essentiel de la musique, composée par Chaplin lui-même, qui amplifie les situations comiques et dramatiques du film!

Ciné-concert: City Lights

Muet/ Comédie dramatique – 20px-Flag_of_the_United_States.svg Ciné-concert: City Lights Etats-Unis – 1931 – Réalisé par: Charlie ChaplinBudget: 1,5M$ – Musique: Charlie Chaplin, José Padilla – Avec: Charlie Chaplin, Virginia Cherrill, Florence Lee, Harry Myers, Al Ernest Garcia

Synopsis:city_lights_3_imagelarge Ciné-concert: City Lights

La ville est en fête, au moment de la célébration d’une statue imposante pour la Paix. Après les discours officiels, c’est au tour du drap d’être enlevé, pour révélé… Un vagabond endormi dans les bras d’une statue composant un triptyque. Réveillé par les officiels choqués, il tente avec maladresse de fuir…

Sur son chemin, il croise une vendeuse de fleur, qu’il tente de séduire. Mais le vagabond comprend peu à peu que la jeune et belle femme, est aveugle. Malgré sa différence, le vagabond est déjà sous le charme mais doit partir.

Poursuivant son périple dans une ville où déjà les voitures s’imposent, il cherche un endroit où passer la nuit. Il se dit que les bancs au bord du canal peuvent être confortables. Mais voilà que son “voisin” ivre tente de se jeter à l’eau! Le vagabond spontanément tente de le raisonner de lui dire à quel point la vie vaut la peine d’être vécu… Résigné, après être tombé dans la rivière, l’inconnu, se révèle être un milliardaire qui prend le vagabond comme compagnon pour la nuit…

Au réveil, ayant oublié, le vagabond mis à la porte, va tenter de retrouver sa jeune vendeuse. Il découvre alors que malade, elle a des difficultés financières. N’écoutant que son amour, fou, il va s’essayer à différents métiers, jusqu’à la boxe pour récolter de l’argent…

Le petit plus?

L’Auditorium de Lyon, présentait ce samedi dans le cadre des Ciné-concerts symphoniques, l’œuvre de Chaplin, accompagnée par un ensemble de l’Orchestre National de Lyon! Plus qu’une simple projection d’un film, la musique en direct nous offre une sonorité que les bandes même restaurées auraient du mal à rendre.

Sous la direction de Timothy Brock, on comprend d’autant plus le rôle essentiel de la musique, composée par Chaplin lui-même, qui amplifie les situations comiques et dramatiques du film!

Twilight: Breaking dawn part 2

Fantastique – 2012 – Etats-Unis – Réalisé par: Bill Condon – Adapté du roman de Stephenie Meyer – Production: Lionsgate, Summit Entertainment – 1h56 – Budghet: 120M€ – Avec: Kristen Stewart, Robert Pattinson, Taylor Lautner, Mackenzie Foy, Ashley Greene, Peter Facinelli, Michael Sheen,

 

Site Officiel

Synopsis:

Bella est restée inconsciente plusieurs jours après son accouchement. Elle récupère et doit s’adapter à son nouveau statut de Vampire, et notamment apprendre à lutter contre sa soif de sang, s’il veut pouvoir voir sa fille, Renesmee.

Celle-ci est protégée par le clan Cullen, et imprégnée par Jacob qui lui est attachée à vie. L’enfant semble grandir de manière anormale et va bientôt être l’objet de suspicion de la part de Volturi, un ordre italien chargé d’appliquer des dogmes concernant les Vampires et les humaines.

Dénoncée par Irina, Renesmee est supposée être un enfant immortel, une aberration pour les Vampires qui projettent de rapidement rejoindre le domaine des Cullen. Edward, Bella, Carlisle et tous les membres de la famille vont partir aux quatre coins de la planète pour convaincre des représentants que la jeune fille est normale.

Mais les “témoins” avec leurs facultés exceptionnelles, ne vont-ils pas attirer les sombres desseins de Aro, dont la caste de chasseurs est elle aussi composée de Vampires surnaturels…

[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=5xOSoONDpY4&w=591&h=331&hd=1]

Petite Critique:

Moins soporifique et ennuyeux que l’épisode précédent, la saga se conclut sur un épisode qui reste dans la lignée d’une romance édulcorée aux vampires. On suit ici un bon divertissement, sans pour autant être séduit comme ce fût las de la saga Harry Potter. Ici les personnages ne grandissent pas, ne montent pas d’évolution dans leur caractère ou personnalité… Même les combats, qui pourraient avoir un intérêt, tombent à plat sur la conclusion (je ne dévoilerai rien…).

Bien sur cela reste plaisant pour des ados, dont l’histoire est intimement proche de ce que nous sert la chaine The WB avec The Vampire Diaries, mais on accrochera pas plus que cela…

Naruto Shippuden: Blood prison

Animation – 20px-Flag_of_Japan.svg Naruto Shippuden: Blood prisonJapon – Titre original: Naruto Shippūden – Buraddo Purizun – 2012 – Réalisé par: Masahiko Murata – D’après: Naruto Shippuden par Masashi Kishimoto – Production: pierrot.jp

naruto_blood%2Bprison Naruto Shippuden: Blood prison

Synopsis:

Dans le désert, Naruto, intervient de peu pour sauver ses disciples (Genin) face à des créatures monstrueuses. Il les rejoint car il doit comme eux passer des tests pour (enfin) devenir Jonin (haut Ninja). Mais alors d’un combat simple, il est disqualifié car le démon, Kyûbi qui sommeille en lui est considéré comme étant intervenu…

Quelques jours plus tard, le chef du village de Kumo mène une enquête sur une boite supposée pouvoir exaucé un vœu à son possesseur et manque de se faire tuer par celui qui de prime abord apparait sous les trait de Naruto! Tsunadé le Hokagué du village n’a d’autre choix d’emprisonner le jeune homme, dans l’attente d’une enquête approfondie.Mais il se pourrait bien que le lieu d’incarcération où est envoyé Naruto ne soit pas qu’une simple prison!

Il est ainsi accueilli par Mui, le responsable qui lui jette un puissant sort qi empêche toute technique ninja d’être effectuée dans l’enceinte de la prison, sous peine de faire bruler le chakra de son corps. Et si l’envie venait aux prisonniers de prendre la fuite par la mer, les courants sont tellement forts que les corps sont fracassés sur les rochers!

Par instinct de survie pour laver son honneur, Naruto va tenter par tous les mayens à fuir de cette forteresse et découvrir pourquoi il a été entrainer ici!

[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=r3hpxhfF_c0&w=573&h=322&hd=1]

Petite Critique:

Les films sont proposés en parallèles de la série et ne suivent pas donc pas la temporalité de celle-ci! Pour autant ils offrent une excellente qualité et on y retrouve tous les personnages dans un scénario original.Ici la course contre la montre s’opère pour ne pas laisser un groupuscule obscure faire revenir du passé un démon et conquérir le monde.

Alors que Naruto semble définitivement rejeter de tous, c’est avant tout parce qu’il se rattache à ses valeurs  et à ses liens, qu’il garde confiance et avance dans ce nouveau combat qui lui est soumis. Les dessins sont comme d’habitude de très bonne qualité.

Hugo

Drame/ Fiction – 20px-Flag_of_the_United_States.svg Hugo Etats-Unis – 2011 – Réalisateur: Martin Scorsese – Produit par: Martin Scorsese/ Johnny Depp – D’après The Invention of Hugo Cabret (Brian Selznick) – 2h08 – Sortie: 20px-Flag_of_France.svg Hugo 14/12/2011 – Budget: 170 M$ – Avec: Asa Butterfield, Ben Kingsley, Chloë Grace Moretz, Sacha Baron Cohen, Helen McCrory Richard Griffiths, Jude Law, Christopher Lee

Site Officiel UShugo-movie-poster-02 Hugo

Synopsis:

Depuis le décès de son père, le jeune Hugo Cabret vit clandestinement dans les rouages de l’horloge de la gare de Lyon. Il en connait les moindres recoins et la met à l’heure quand il faut puisque son précepteur et oncle lui aussi a sombré…

Seul, Hugo n’a que pour ami un automate qu’il tentait déjà de réparer avec son père. Mais celui-ci est complexe et nécessite des pièces qu’il dérobe petite à petit dans une boutique de la gare, jusqu’à ce que son propriétaire, Papa Georges, le surprenne, et lui dérobe son carnet de notes.

Hugo va vouloir le retrouver, mais ne sait pas qu’il va rentrer dans un engrenage beaucoup plus important et que le Georges en question cache un passé qui va le plonger dans l’histoire du cinéma…

[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=bcdEXHIuTxw&w=483&h=271&hd=1]

Petite Critique:

S’il y a bien un genre dans lequel on attendait pas Scorsese, c’était le film pour enfant sorti à la période des fêtes de fin d’année! Mais le moins que l’on puisse dire c’est qu’il y a mis tout son talent pour nous raconter une histoire qui semble banale au départ mais nous transporte dans l’histoire du cinéma, celui qui a transporté et fait rêver au début du cinématographe.

Il s’est pour cela énormément documenté et a tout aussi bien alimenté son film d’images d’archives, que d’un Paris d’époque richement reconstitué. Le tout donne un très grand film familial!

My week with Marilyn

Comédie dramatique/ Biopic – 2011 – image_thumb4 My week with Marilynimage_thumb5 My week with Marilyn– Réalisé par Simon Curtis – Production: BBC Films/ Lipsync Productions/ Trademark Films/ UK Film Council/ The Weinstein Company – Avec: Michelle Williams, Eddie Redmayne, Julia Ormond, Kenneth Branagh, Emma Watson, Dominic Cooper

image_thumb6 My week with Marilyn

Site officiel: http://myweekwithmarilynmovie.com/

Synopsis:

A 23 ans  Colin Clark dans les années 50 se cherche encore. Issu d’une famille bourgeoise dans la campagne londonienne, il se passionne plus pour le cinéma que par les études sérieuses de son père. Il se met en tête de dégoter un job d’été dans ce domaine.

Il va s’entêter et faire ses preuves auprès du célèbre Laurence Olivier, en pleine préparation de son premier film comme réalisateur.

C’est l’année 1956 Marilyn Monroe, la star féminine de ce film débarque pour la première fois à Londres. Ella déjà derrière elle des films qui ont fait son succès: Eve, Les hommes préfèrent les blondes, Sept ans de réflexions.

La star est entourée de sa répétitrice et de son agent, des méthodes qui sont loin de faire l’unanimité dans le classicisme anglais, dans lequel l’américaine n’est pas à l’aise et montre toutes ses failles.

C’est pourtant auprès du jeune “3ème”, Colin, qu’elle va trouver réconfort et la force de terminer ce film…

[youtube http://www.youtube.com/watch?v=1-b48Aj8zkg]

Petite Critique:

Depuis 2004, Curtis travaille sur le projet d’adapter les mémoires de Colin Clark, d’après The Prince, The Showgirl and Me et My Week with Marilyn. Plusieurs actrices ont été approchées pour le rôle-titre, et c’est finalement la jeune Michelle Williams (loin, très loin de ses débuts dans Dawson’s Creek) qui campe Monroe.

Elle fait face à Brannagh et Dench, deux monstres du cinéma anglais, avec talent, dans ce presque biopic, qui reste un tantinet lisse. Le film se laisse pour autant regarder et est à voir pour le jeu des acteurs!

Bienvenue parmi nous

Comédie dramatique –  image_thumb3 Bienvenue parmi nous France – 2012 – Réalisé par Jean Becker – ICE3 / KJB Production – Avec: Patrick Chesnais, Miou-Miou, Jacques Weber, Jeanne Lambert – Sortie: 13/06/2012

Synopsis:

Taillandier, la soixantaine passée, semble s’enliser dans une dépression qui dure. Il n’a plus de goût à rien et se lever le matin est un calvaire! Il a pourtant tout pour être heureux: une épouse, des enfants, une situation sociale enviable. Même son art l’a abandonné et il ne peint plus depuis des mois. Complètement désabusé, il quitte son domicile un jour et part rejoindre les traces de son enfance. Emplit de mélancolie, il tentera de mettre fin à ses jours avant de tomber sur Marie-Lou, une jeune fille perdue, jetée de chez elle par une mère violentée. Ils vont tous deux s’apprivoiser et s’aider mutuellement à remonter la pente sur laquelle ils sont….

Petite Critique:

Chesnais joue ici sous la direction de Becker (L’été meurtrier, Effroyables jardins…) un sénior en pleine remise en question avec justesse. Peut-on seulement se plaindre alors que tout nous a sourit jusque là? En quête d’inspiration, et d’une muse artistique, c’est la jeune Marie-Lou (incarnée à l’écran par la jeune Jeanne Lambert) qui va lui redonner goût à la vie. On rit souvent grâce au personnage de la jeune ingénue. Un bon film à voir… dans 2 mois!