Charlize Theron

Snow White & the huntsman

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Conte fantastique – 20px-Flag_of_the_United_States.svg Snow White & the huntsman Etats-Unis – 2012 – Adapté du récit des Frères Grimm – Réalisé par: Rupert Sanders – Produit par: Sam Mercer – Distribution: Universal Pictures – Musique: James Newton Howard – 2h07 – Budget: 170M$ – Avec: Kristen Stewart, Charlize Theron, Chris Hemsworth, Sam Spruell, Sam Claflin

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Synopsis:

Après la mort de son épouse, le roi Magnus tombe très vite amoureux de la mystérieuse Ravena, une beauté froide et envoutante, qui l’assassinera et prendra la tête du royaume, et jetant au cachot la jeune Blanche-Neige,orpheline.

Frappée par le sort héritée de sa mère, Ravena si elle veut conserver sa beauté et une apparente jeunesse (car on ne sait quel âge elle a) doit s’emparer du souffle de vie de ses proies et d’un cœur encore palpitant.

Alors qu’elle est une jeune femme et menace de devenir plus belle que Ravena, Blanche-Neige réussit à s’échapper des mains de Finn et rejoint la forêt obscur, le seul lieu où les pouvoirs de Ravena ne peuvent s’étendent. Pour la poursuivre la reine mandatent un chasseur qui noie son chagrin dans l’alcool depuis le décès de sa femme. Celui-ci va retrouver très facilement la jeune femme en fuite, mais s’il ne connait pas son identité, il va prendre sa défense et défier ainsi la reine…

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Petite Critique:

3ème adaptation de Blanche-Neige cette année, après la série, mais aussi le film plus comédie avec Julia Roberts, le publicitaire anglais nous offre ici une version plus noire du conte des frères Grimm.

Il nous livre ainsi ainsi une Blanche-Neige plus proche de Princesse Mononoké avec une faune et une flore féérique largement inspirée de la mythologie et des légendes de Gaia et du cerf mythique.

Le tout offre un film épique dont le destin de ses deux personnages principaux est la clef. On regrette toutefois que le monde des fées développé par Sanders soit si peu présent, et que le “souffle de vie” dont est sensé être porteuse Blanche-Neige n’est pour ainsi dire pas matérialisé…

Prometheus

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Fantastique – 20px-Flag_of_the_United_States.svg Prometheus Etats-Unis – 2012 – Réalisé par: Ridley Scott – Distribué par: 20th Century Fox – Sortie: 30/05/2012 – Budget: 130M$ – Noomi Rapace, Michael Fassbender, Guy Pearce, Idris Elba, Logan Marshall-Green, Charlize Theron

prometheus-affiche Prometheus

Synopsis:

Dans un passé lointain, une race humanoïde arrive sur Terre. Un arrivant consomme une étrange substance noire qui le consume et modifie  son ADN, broyant son corps dans l’eau…

En 2089, un couple d’archéologismes font une ultime découverte mettant en évidence d’étrange similitudes dans plusieurs civilisations sur des peintures rupestres, au sujet d’une constellation lointaine et d’une probable visite extraterrestre…Cette découverte conduit un grand groupe à financer une expédition spatiale, à bord du Prometheus.

Après un peu plus de deux ans de stase, l’équipe d’une quinzaine de passagers, dont les archéologues Elizabeth et Charlie, mais aussi des géologues et autres scientifiques, sous la surveillance d’un androïde manipulateur.

Arrivé sur un satellite, ils vont vite découvrir des routes et des formes d’habitations laissant présager que des formes de vies ont existé! Mais s’agit-il des créateurs de l’humanité?

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Petite Critique:

33 ans après Alien, Ridely Scott nous propose un prologue à sa saga, une introduction métaphysique qui nous interroge sur les origines de l’humanité. Mais la sauce est loin de prendre et on a l’impression d’être souvent devant un pseudo 2001 Odyssée de l’espace (dont je n’ai jamais été fan…).

Si les scènes d’action sont bien présentes, tout ce que fait le personnage d’ Elizabeth à la fin du film, est tellement improbable, qu’elle est presque plus forte que James Bond à elle toute seule! Et arrivé à la fin du film après des fluides visqueux, des pieuvres géantes etc… on a l’impression que Scott n’a pas su choisir l’origine de sa créature entre évolution génétique ou pendant négatif des Ingénieurs…

Hancock: un anti-héros conventionnel

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Film américain réalisé par Peter Berg, sorti le 2 juillet 2008 aux États-Unis et le 9 juillet 2008 – avec Will Smith, Charlize Theron , Jason Bateman – Site officiel

y1pBUkbXMn2pjiETROOpbsAaKqWT6FG8yjpAQ5znr0n18XgNfsCi09kuQe_7ylIP8CoCCsaxsKloEQ?PARTNER=WRITER Hancock: un anti-héros conventionnelL’histoire

John Hancock est tout sauf ordinaire. Si dès le début du film présenté comme un poivrot, éméché sur un banc, il est en fait un super-héros affublé d’ une invincibilité hors norme et de la capacité de voler! Bref, un Superman, en moins populaire! Car hancock a ceci de particulier que malgré le fait d’ aider les gens, il ne le fait pas sans casse et sans conséquences!

Au summum de son impopularité, il croise la route de Ray, un consultant en communication utopiste qui cherche à associer des grandes entreprises à des actions humanitaires… Alors qu’ il est coincé sur une voie ferrée, il est sauvé par Hancock, d’ une façon toujours aussi peu “héroïque”. Pour  le remercier, et se lançant sans doute un nouveau défi presque insurmontable, Ray se met en tête de ry1pJ2-1l3KY3uL3TIVQrhquj1VrXgFqJNezt4RuUXF0CwVM6nApl65wAxp-2ZIcpyFH?PARTNER=WRITER Hancock: un anti-héros conventionneléhabiliter Hancock…

Commentaires…

Avec 150 millions de budget et un casting relativement intéressant, le film aurait pu être bon! Mais ça ne reste qu’ un bon divertissement. D’ abord irascible, associable et parfaitement “con” le personnage d’ Hancock se laisse attendrire, on ne sait finalement pas trop pourquoi, par une famille modèle. Certes il y a un rebondissement qui nous dévoilera le passé et une partie des origines du héros, mais quand même cela passe bien vite et au final on reste encore bien frustré. Ses manières sont bien trop simplistes et le personnage bien peu fouillé pour qu’ on est même envie de s’ y attacher! Nan finalement la seule surprise reste encore dans les traits des deux rôles secondaires, celui de Charlize Theron (mais comment dire, quoi qu’elle fasse…) ou d’ un Jason Bateman qui a pris de l’ âge depuis son 1er rôle à la télé dans Silver Spoons (Ricky ou la belle vie)!

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North Country

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Titre français: L’Affaire Josey Aimes – Réalisation : Niki Caro – Scénario : Michael Seitzman – Société de production : Warner Bros. Pictures – Budget : 35 millions de dollars – Musique : Gustavo Santaolalla – Pays d’origine : États-Unis – Genre : Drame – Durée : 126 minutes – Dates de sortie : 8 mars 2006 (France)

poster_northcountry1 North CountrySynopsis:
 
Josey Aimes cherche du travail pour nourrir sa famille, maintenant qu’elle est divorcée avec ses deux enfants. Au fin fond du Minnesota, le seul emploi accessible est celui de la mine!
Mais comment s’intégrer dans un milieu d’homme machiste qui ne voit pas d’un bon œil l’arrivée des femmes dans cette activité dans laquelle ils expriment leur virilité…
 
Petite Critique:
 
Le film est une Adaptation du livre “Class Action: The Story of Lois Jensen and the Landmark Case That Changed Sexual Harassment Law”, écrit par Clara Bingham et Laura Leedy.
Charlize Theron montre encore ses talents d’actrice en interprétant une femme poursuivit par le machisme et le mauvais goût masculin. Après "Monster" qui retraçait la vie de la première femme condamnée à mort, elle s’engage en reprenant l’histoire d’un groupe de femmes qui travaillant à la mine subissent quotidiennement le harcèlement de leurs collègues  hommes.
Ceux-ci se sentant diminués par l’arrivée de la gente  féminine sur leur lieu de travail "virile" en font baver  aux femmes  pour  les faire fuir! On est là à la fin des années 90 , aux Etat-Unis et franchement on se dit que le progrès, la parité homme/femme c’est pas pour tout de suite! Mais le personnage de Josey Haimes qui survit grâce à ses deux enfants devrait donner à réfléchir à pas mal de femme pour dénoncer des pratiques bien plus courantes qu’il n’y parait dans nos bonnes vieilles civilisations "développées"…

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