Flight

Comédie dramatique – 20px-Flag_of_the_United_States.svg Flight Etats-Unis – 2012 – Réalisé par: Robert Zemeckis – 2h20 – Production: Paramount pictures, Image movers – Sortie: 13/02/2013 – Avec: Denzel Washington, John Goodman, Don Cheadle, Bruce Greenwood, Kelly Reilly

Flight_film_poster Flight

http://www.paramount.com/flight/

Synopsis:

Orlando, le 14 octobre 2011, le capitaine William “Whip” Whitaker (Denzel Washington) émerge d’une courte nuit de sexe, alcool et drogue au petit matin, partagée avec une de ses collègues. Moins de deux heures plus tard, il prend les commandes du SouthJet 227 à destination d’Atlanta.

Après avoir slalomé entre deux perturbations, le vol semble se dérouler sans encombres. Mais alors qu’il termine sa nuit, Whip est réveillé par son second: une avarie perturbe la stabilité de l’avion. Avec calme et gestion de la crise, le pilote parviendra à faire atterrir l’appareil en rase campagne.

La catastrophe sera limitée, même si des morts sont à déplorer, et bientôt les médias font du pilote un héros. Du moins tant que ne remonte pas à la surface ses difficultés et son déni de dépendance qui semble bel et bien commander toute sa vie… Sa rencontre avec Nicole, une toxicomane en rechute, va-t-elle seulement l’influencer?

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La Petite Critique

Robert Zemeckis arrive là où on ne l’attend pas: Back to the future, Roger Rabbit (dont la suite est programmée pour 2014!), Forrest Gump ou Beowulf, sont quelques uns de ses succès. Après 10 années entre fantastique et animation, il vient poser sa caméra sur le personnage de Whip, un alcoolique arrogant dans le déni, et dépeint l’omniprésence de la drogue qui régit son mode de vie.

Tout autant héros que coupable, on sort du film sans vraiment ressentir d’antipathie envers Whip… On ne sait même que trop penser de la multiplicité de références religieuses, souvent décalées de ce côté de l’Atlantique, qui finit par être le seul salut en bout de course pour cette homme qui a sombré au détriment de ceux qui l’entourait… Moins un pamphlet qu’un coup de griffe sur les conséquences et l’emprisonnement dans l’alcool, le film s’il se laisse regarder, sera vite oublié!

The River: une saison et repart

Fantastique – 2012 – ABC – Créée par Oren Peli (Paranormal) et Michael R. Perry (Paranormal 2) – 8x60min – Produit par: Steven Spielberg – Avec: Bruce Greenwood, Daniel Zacapa, Leslie Hope, Thomas Kretschmann, Paul Blackthorne, Eloise Mumford, Joe Anderson, Paulina Gaitán, Shaun Parkesimage_thumb9 The River: une saison et repart

http://beta.abc.go.com/shows/the-river

Synopsis:

Après 6 mois sans nouvelles du naturaliste Emmet Cole, présentateur d’une série documentaire à succès, The undiscovered country, qui plongeait téléspectateurs dans les secrets de l’Amazonie, sa balise est activée.

La famille, comme ses proches collaborateurs décident très vite de partir en expédition. Son épouse, le Dr Cole, son fils Lincoln,la co-présentatrice Tess, partent avec l’équipage dans une croisière sur l’Amazone qui risque de poser plus de questions qu’elle n’apportera de réponses…

Au fur et à mesure qu’ils s’enfoncent dans l’épaisse jungle, ils font face à d’étranges phénomènes, et tentent de remonter les derniers jours d’Emmet grâce aux nombreuses heures d’enregistrements retrouvées…

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Le guide des épisodes sur TV.com

Petite Critique:

Avec The River, ABC marche ici sur les plate-bandes du cinéma fantastique. On est en effet plus proche d’un Blair Witch ou Paranormal Activity que d’autre chose. A l’instar de ces deux productions hollywoodiennes, ce n’est pas tant ce que l’on voit mais ce qui est suggéré qui induit l’angoisse et le thrill! Et cette impression est amplifiée par les jeux de caméras subjectives portées par les personnages, ou les écrans de contrôle au champ de vision forcément restreints.

A cette heure, la série est sur la sellette, après seulement 8 épisodes de bonne facture. La série a en effet le mérite de nous plonger dans un univers peu habituel à la télévision. On y retrouve Greenwood, qui se distingue par sa participation dans des séries somme toute décalées: L’homme de nulle part (1996) ou encore John fom Cincinatti (2007).

John From Cincinnati

Bizarrerie du moment: Diffusée sur HBO depuis le mois de juin, John From Cincinnati suit jour après jour (référence aux titres des épisodes) la famille Yost complétement déstructurée qui se recompose autour de l’arrivée de deux personnages : John, qui ressemble étrangement à un Kyle (Kyle XY) et Linc Stark un qui est plutôt source de problème dans la famille… D’abord série dramatique, le ton est forcément décalé avec HBO, on lorgne un peu vers le mystère et après deux ou trois épisodes, le moins que l’on puisse dire c’est que la série vous destabilise un peu car elle ne ressemble à rien d’autre!linc_john_02_252 John From Cincinnati

La famille parlons-en: On rencontre donc Mitch, surfeur de légende, marié à Cissy, qui s’enferme un peu plus dans sa solitude. Il a un fils, Butchie qui était un grand surfeur lui aussi mais a sombré dans l’addiction aux drogues dures… Et le petit-fils de 13 ans, Shaun, qui suivra forcément les traces de la famille!! Autour d’eux gravitent des personnages qui auraient pu trouver une place de choix dans Twin Peaks tant on abutchie_shaun_john_01_252 John From Cincinnati du mal à les cerner:

Un propriétaire d’hôtel obsédé par son passé, un mafioso passionné par Céline Dion et un ami de la famille qui semble posséder un perroquet aux pouvoirs surnaturels… Bref de quoi susciter interrogations et intérêts pour ce show…

Les Acteurs: autre originalité de la série: son casting! Car plusieurs de ses acteurs snt d’anciennes stars de séries télé et vous les avez forcément déja vu ailleurs! De Bruce Greenwood (Nowhere Man) à Luke Perry (Beverly HillsJeremiah – Oz) ou encore Ed O’Neill (Mariés, 2 enfants), la série verra l’ajout de Mark Paul Gosselaar (NYPD Blue – Saved by the bell)! Rien que logo_site John From Cincinnatiça…