Sous ce mot indien désignant “l’installateur du câble”, se cache un groupe de rock alternatif américain, actif entre 1994 et 2006. Composé de J.R. Richards (chant et guitare), Rodney Browning Cravens, Jim Wood, Scot Alexander, les anciens membres ont été George Pendergast et Pete Maloney.
Pet your friends (“apprivoise tes amis”) donne le ton en 1995! 1er album contenant quelques 13 titres, il révèle tout à la fois les talents musicaux du groupe, mais aussi la voix de Richards, tantôt sombre, tantôt mélodique sur des ballades. Le single Counting blue cars atteindra la 15ème place du Billboard 100 et le top du Modern Rock Tracks! Entre 1998 et 2002, plusieurs titres du groupe figureront sur des BO de films, et sort enfin un second opus, Opaline…
Derrière une magnifique pochette, se cache un petit bijou, avec des instrumentations toujours travaillées, la voix tantôt étouffée (sur le titre Opaline). Etrangement Devils and Angels, une ballade pop à fort potentiel, ne sortira pas en single, mais sera reprise dans de nombreuses séries télé! Les tubs en puissance s’enchainent dans cet album, et sort Somwhere in the middle, qui réaffirme le côté indé de Dishwalla:
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Le titre atteindra la 25ème place de l’Adult Top 40. Les deux titres Candleburn (au piano) ou Nashville Skyline, mes préférés, nous transportent de manière mélancolique, sur les relations passées ou des lieux oubliés.
Après un tribute remarqué à Depeche Mode (Policy of truth) c’est en 2005 que sort l’album éponyme, définitivement plus rock. On notera ici la présence du morceau Collide, avec ses couplets tranquillement posés, et la voix plus puissante, accompagnée des guitares électriques sur le refrain: un régale pour les oreilles! Le groupe poursuit son histoire même si son chanteur s’est permis un écart solo en 2009, avec un album, A beautiful end! To be continued…
Alors qu’une tournée est annoncée, Darren Hayes semble vouloir prolonger son plaisir et poursuit la promo de son album, en proposant le titre “Stupid mistake”, en single, le tout accompagné d’un clip dans lequel il s’oppose à son double clownesque. Le titre arbore un côté tragique, avec une tension dans la musique, avec une escalade qui trouve son apogée à 2”30… Il tente par la complainte de se faire expier ses fautes (mistake) commise, mais il est trop tard et il ne lui reste plus qu’à errer dans la foule et tenter d’apercevoir celle ou celui qu’il aime…
