Eric Benét – Sometimes I cry

Connu pour sa reprise de "Georgy Porgy", en duo avec Faith Evans en 1999, Eric Benét a continué dans la musique tranquillement mais surement. Moins médiatique que ses confères dans l’univers Soul et R’n’B, il n’en reste pas moins qu’il possède une voix puissante et renoue avec un certain classicisme du genre, auquel il

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rendait hommage sur son précédent opus, Lost in Time, aux sonorités des années 70, paru il y a tout juste un an! En attendant le prochain album prévu ce mois-ci, écoutez et savourez un homme qui pleure parfois…  "I’ll just have to fake it / Until I can make it / There’s a smile on my face, yeah / But I’m broken inside"

Music review: Secret codes and battleships

secret-codes-battleships_thumb Music review: Secret codes and battleshipsParler d’amour est aussi compliqué que de transcrire des codes et la relation est souvent conflictuelle à bien des niveaux, car elle est avant tout le rapprochement de deux personnes qui ne sont pas semblables. Darren Hayes avec ce 5ème album se propose d’explorer plusieurs phases de la relation amoureuse et tente de poser des mots sur une musique pop tantôt enjouée, tantôt mélancolique, teintée d’électro…

I TAKEN BY THE SEA : L’album s’ouvre sur une ballade romantique. On se laisse tanguer au son des instruments. Il est ici question d’une rencontre et des incertitudes et questionnements du début d’une rencontre… 2 DONT GIVE UP: Les sons synthétiques déjà plus présents sur ce titre relance le tempo. Malgré la thématique de la séparation, le morceau est d’une positivité à toute épreuve, et la voix de Darren Hayes de s’envoler sur la fin du morceau… 3 NEARLY LOVE: Ici le doute est omniprésent. Aimer oui, mais cela peut-il suffire? Hayes prend conscience sur ce titre qu’il faut renoncer car ce n’est pas encore assez pour l’autre. 4 BLACK OUT THE SUN: Quelques accords, et la voix grave vient se poser. Darren Hayes continue d’explorer le vide provoquer par la séparation. La musique est forcément mélancolique, et noir, à l’image du texte: "paint the sky in black, love isn’t coming back"…"stop all the rain and poison the ground, love doesn’t want to hang around". Pour Hayes ce titre donne la couleur de l’album. Le titre a été enregistré le jour de la mort de Michael Jackson, et il y a transmis toute son émotion!  5 TALK TALK TALK: 1er extrait révélé de cet album, démarre sur des sonorités définitivement électro. le refrain résume à lui-seul l’objectif du titre. Martelé, le "talk talk talk" exhorte à la discussion et à l’expression de ce qui reste souvent non-dit dans la relation de couple. 6 BLOODSTAINED HEART: de sa voiximage_thumb Music review: Secret codes and battleships haut perchée, Darren Hayes évoque sur une ballade pop efficace, l’entrainement et la chute d’un couple qui n’a plus la force de croire et de renouveler la relation. L’amour est aveugle et il est prêt à suivre l’autre, malgré la chute ou les claques… 7 GOD WALKING INTO THE ROOM: réminiscence d’une relation cassée, le moment de rupture est douloureux, et Hayes évoque les souvenirs en usant du champ lexical de la religion, pour montrer combien sa relation était importante. Les accords de guitare viennent appuyer de temps à autres le chant. 8 HURT: sons de synthé qui introduisent le morceau, la voix entre, plus grave. Le texte plus original parle d’une personne qui n’aime pas, ou en fait a peur d’aimer, et qui préfère rejeter l’autre, plutôt que d’avouer ses sentiments. Les violons qui pleuvent sur le tout sont un petit régal. 9 ROSES: la ligne mélodique est tout d’abord presque indescriptible. Seul les percussions tels des battements se font entendre distinctement sur la voix. Le morceau nous invite tout simplement à profiter de la vie, des moments, et de ne pas passer à côté des choses, en gardant regrets et remords enfouis… "you can’t smell the roses when you’re gone… you’ll only get one life to get it right". 10 STUPID MISTAKE: Le son est rapide, entrainant, comme un tourbillon. Hayes avoue ses erreurs, sa conception erronée de l’amour qui l’a conduit à la rupture… 11 CRUEL CRUEL WORLD: sur ce morceau, on s’enfonce encore un peu plus dans la mélancolie… Hayes et sur un chemin de rédemption, au milieu "d’une ville d’étrangers" et compare la route à parcourir à un océan qu’il faudrait franchir  à la nage…  12 SIRENS CALLS: curieux morceau où l’on a l’impression que l’australien est accompagné de chanteurs corses… L’appel des sirènes, comme un appel à l’amour, la voix clamant des sentiments, face à des monstres et créatures venus d’ailleurs.

Et ne vous arrêtez pas là car selon les éditions, d’autres titres sont ajoutés! Sur la version DELUXE publiée sur iTunes, vous retrouverez le détonnant EXPLODE, Perfect,Tiny Little Flashlights, Nothing, Glorious (qui dure 6:18), et les versions Live! at The Attic de Talk Talk Talk et de Black Out the Sun

The Fray – Heartbeat

Le groupe The Fray originaire du Colorado, doit beaucoup aux séries télé! Quel fan de Grey’s Anatomy n’a pas entendu le titre How to save a life? devenu un succès mondial en 2007? D’autres morceaux ont marqué musicalement des épisodes de Smallville ou House…  Leur dernier album sorti en 2009 a été l’occasion pour la formation piano-rock, de tourner, à guichet fermé, aux Etats-Unis, avant de s’envoler sur le Canada et l’Angleterre. Le dernier morceau en date: Heartbeat, qui précède un 5ème opus, Scares & stories, prévu en début d’année 2012…

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Secret codes and battleships – the videos

Alors que le dernier opus de Darren Hayes est sorti depuis quelques jours, déjà trois clips vidéos ont été réalisés et diffusés sur les différentes plateformes du net pour le assurer la promotion! Trois titres mis en images jusqu’à présent. Voici les vidéos! TALK TALK TALK reprend des visuels de l’album dans un clip kaléidoscopique…
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BLOODSTAINED HEART est une ode à l’échappée, à la romance et à la liberté, à ce flux sanguin qui bouillonne lorsque l’on est amoureux…
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BLACK OUT THE SUN est une pièce maitresse de l’album! Explorant le sentiment le plus sombre qui nous habite lors d’une séparation, le titre est mélancolique et sombre, triste
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Darren Hayes – Secret codes and battleships

coverlarge Darren Hayes - Secret codes and battleships

Le prochain album de l’Australien Darren Hayes, 5ème opus solo, sortira dans quelques jours maintenant. Explorant toujours un esprit onirique et mélancolique dans la musique, Secret codes and battleships, semble s’inscrire dans la continuité de This Delicate Thing We’ve Made, publié il y a déjà 4 ans! En témoigne cette vidéo qui présente les 12 titres figurant sur l’album, produit par Walter Afanasieff (Mariah Carey, Marc Anthony, Lara Fabian, Babyface, Mika) and Carl Folk.

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The next and fifth solo album from native Australian Darren Hayes, is out in a few days from now. Exploring melancolic and oniric sounds and music, Secret codes and battleships, seems to follow well its predecessor, This Delicate Thing We’ve Made, issued 4 years ago. This video previews the 12 titles that compose the album produced by Walter Afanasieff (Mariah Carey, Marc Anthony, Lara Fabian, Babyface, Mika) and Carl Folk.

Fêtes escales – Vénissieux

Dans le cadre de son mini festival, “Fêtes escale”, Vénissieux proposait une suite de concerts gratuits dans l’enceinte du par Dupic. L’occasion de découvrir une programmation résolument world music, avec Antiquarks (mélangeant l’électro et les musiques orientales), Sahra Halgan (chantant l’exil de son pays, le Somaliland) et l’Orchestre national de Barbès, toujours aussi festif!

Jamie Cullum, live

Comme il le dit lui-même, il aura fallu attendre 6 ans pour que Jamie Cullum, plus mâture et reconnu, se décide à venir jouer dans le mythique théâtre antique de Vienne. Et ce dimanche 10 juillet le moins que l’on puisse dire c’est qu’il a gagné ses lettres de noblesse!

Après une première partie revisitant des standards du jazz, assurée par la voix chaude de la franco-américiane Cécile McLorin Salvant, Cullum aura réalisé une prestation de plus de deux heures, tout en restant en lien avec son public. Chanteur, musicien et show-man, pour vous donner une idée de ce qu’il fait, un extrait sonore du concert. Enjoy!

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Il reprend ici un titre de Radiohead pour notre plus grand plaisir, et entraine le public dans un chœur polyphonique…