Titre original : Elementarteilchen – Réalisation : Oskar Roehler – Scénario : Oskar Roehler d’après le roman Les Particules élémentaires de Michel Houellebecq – Distributeurs d’origine : Constantin Filmverleih GmbH (Munich), TFM distribution – Pays d’origine :
Allemagne – Genre : drame – Durée : 113 min – Sortie : 30 août 2006 en
France
CiNéMa
Nausicaa
Titre original : Kaze no Tani no Naushika – Histoire originale, scénario, réalisation : Hayao Miyazaki – Producteur : Isao Takahata – Producteur exécutif : Michio Kondou, Toru Hara, Yasuyoshi Tokuma – Musique originale : Joe Hisaishi – Directeur de l’animation : Kazuo Komatsubara – Direction artistique : Mitsuki Nakamura – Studio de réalisation : Studio Topcraft – Directeur du son : Shigemaru Shiba – Durée : 116 min – Dates de sortie : 11 mars 1984 ;
23 août 2006 – Distribution :
Studio Toei ;
Buena Vista International
Synopsis:
L’histoire est celle du village de la "Vallée du vent" où vie Nausicaa, pris entre deux peuples qui se livrent une guerre sans merci. La stupidité est ainsi marquée que les hommes sont victimes d’une forêt toxique qui gagne chaque jour du terrain sur la nature "normale".
Chacun en cherchant vainement le moyen de contrer la prolifération du danger, s’arme de plus belle pour se battre contre la contrée voisine… A force de combats, les hommes en ont oublié leurs sens, la raison même qui avait conduit à l’apparition de ces gaz nocifs. Et Nausicaa de s’entêter à essayer de comprendre, d’avancer et trouver…
Petite Critique :
Dessinée en 1982 par Miyazaki, Nausicaa au fil de des 7 volumes est devenue personnage emblématique du manga, au point d’avoir été considéré 15 années durant le héros préféré des japonais! C’est tout naturellement que son histoire a été portée sur grand écran.
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Inspirée de la princesse Phénicienne qui sauva Ulysse (elle s’émerveille de la nature) et du vieux conte japonais "la princesse qui aimait les insectes", cette œuvre est un pamphlet tout entier sur la bêtise humaine. C’était il y a déjà 22 ans, mais le temps a rarement raison d’une œuvre comme celle-ci. La France ne connaissait pas encore le manga et nous offrira des séries amusantes, sans vraiment en comprendre le sens…
Le film est cependant loin de rendre justice aux livres, qui se sont attachés au fil des pages à développer un peu plus les thématiques sans être aussi manichéen que le film avec le clivage bien et mal / homme et nature etc… De quoi peut-être me donner l’envie de commencer à me plonger dedans!
Plein d’infos en plus? c’est sur le site >>>
The Wind That Shakes the Barley
Titre français : “Le vent se lève” – Long-métrage britannique . Genre : Drame , Historique – Réalisateur: Ken Laoch – Durée : 02h04min – Année de production : 2005 – Distributeur : Diaphana Films
The Plot :
In the early 20’s, Irish seem to be nothing but amusement for English military who dont hesistate to torturate in order to create a fear atosphere. Damien is decided to leave is country to study medecine… But his road reminds him the condition of his people… He won’t go.. He will prefer join his friends to fund an army to resist the Invader, his brother Teddy is already an active IRA member. But the frontier between relationships fades away as the war continues. Who is right and who is wrong, wen all are animated with passion, all fighting for freedm, but in opposite ways…
How it makes me feel:
Depainting war horror in its cuel easyness, Ken Loach makes us travel through History to understand a country
that has suffered pain and diseas, because of a lack of food and doctors…It sounds highly ironic how good an artist can be denouncing atrocity and crimes, making you fatally hate war, and then watch the tv news to realise that Peoples are not ready to evolve… What finally made already Picasso 70 years ago with Guernica is still necessary! It allows us to take conscience, that’s the role of art, above beautyness. The title of the movie is a reference to a song in which the main character, a young rebel abandonsed his relashionship and sank into violence associated with 1798 rebelion in Ireland. For those who don’t know yet, it’s just the "Palme d’Or 2006"…
Il Mare
Titre oritginal : “Siworae” (Time-transcending love) – Film coréen – 2000 – Réalisateur : Lee Hyeon-seung - Production : Sidus Uno Film – Avec : Jun Ji-hyun and Lee Jung-jae.
Synopsis:
Eun-joo vendeuse dans une boutique de manga et doubleuse de cinéma quitte sa maison du bord de mer en laissant une carte de vœux pour le propriétaire suivant… Sung-hyun architecte travaillant su des chantiers peu valorisant, débarque dans cette maison qui n’a encore pas de nom… Même lieu, deux moments différents et pourtant ces deux personnages que le temps sépare vont entrer en contact…
Petite Critique:
Si l’historie à quelques exceptions prêt semble la même, la thématique abordée n’est plus la même. Alors que l’adaptation américaine se focalise sur l’attente et procède par écho avec le bouquin cité, ici tout n’est que solitude. Malgré leurs efforts, les personnages ne semblent jamais parvenir à s’intégrer socialement et rencontrer des gens. La maison dans laquelle ils vivent ou ont vécu vient accentuer ce sentiment.
Dès lors on comprend mieux le fantastique de la boite aux lettres qui permet à ces deux âmes esseulées de communiquer malgré le temps qui les sépare. Définitivement plus psychologique, on retrouve cette faculté du cinéma asiatique à traduire des sentiments presque oppressants avec finalement pas les mêmes moyens qu’Hollywood, mais ça marche! Si vous tombez dessus, au hasard (…), n’hésitez pas! Car ici on a su éviter les problèmes de lignes spacio-temporelles qui semblent avoir torturer les Américains…
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The Lake House
Titre français : “Entre deux rives” – Remake de Siworae – Réalisation : Alejandro Agresti – Scénario : David Auburn – Société de production : Vertigo Entertainment – Distribution : Warner Bros Pictures – Compositeur : Rachel Portman – Pays d’origine : États-Unis – Budget : 40 millions de dollars – Genre : Romance – Durée : 1h47 – Sortie : 26 juillet 2006 (France)
Distribution
L’histoire :
Le Dr Kate Foster semble quitter avec résignation sa tranquille maison sur le lac pour entamer son internat de médecine à Chicago.. Avant d partir elle laisse un mot pour le futur propriétaire… Alex Wyler débarque lui dans cette maison qui semble avoir un aspect différent et découvre le mot lui étant adressé. Après un évènement troublant décrit dans sa lettre, Alex décide de répondre à l’ancienne propriétaire. Démarre alors une correspondance qui n’aurait rien d’original, sauf que la boite-aux-lettres utilisée permet des échanges à 2 ans d’intervalle.
Comblant des manques évidents au niveau relationnel de l’un et de l’autre, cette "romance épistolaire" va nouer les deux personnages qui interagissent sur les évènement du temps. Le thème de l’attente, et d’une possible relation à travers le temps qui passe est largement évoqué en écho dans le livre préféré de Kate, "Persuasion" de Jane Austen…
Critiques :
Si la version française a déformé le titre (“Entre deux rives”) et donc dénature l’intrigue même du film, cette histoire vaut le coup d’œil, ne serait-ce que pour revoir… 12 ans après Speed (si si je sais on vieillit aussi…) le couple Bullock/Reeves au cinéma!
Les avis sont plutôt négatifs à en lire tout ce qui peut avoir été écrit, pas tant pour le jeu des acteurs, que pour des incohérences du scénario, et des lignes spacio-temporelles évoquées… Mais qu’importe car ici le propos n’est pas la machine à remonter le temps de H.G. Wells ou un traiter sur l’espace temps. C’et avant tout un prétexte pour appuyer la notion d’éloignement et de comment la relation peut se construire malgré tout, dans l’attente de retrouver l’autre. Reste plus qu’à dégoter "Il Mare", film coréen dont celui-ci est un remake!
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Lucas, fourmi malgré lui
Animation – Etats-Unis – Titre original: The Ant Bully – Réalisé par John A. Davis – D’après le livre de John Nicke – Budget: 50 M$ – 1h28 – Sortie:
09/08/2006 – Avec les voix de: Julia Roberts, Nicolas Cage, Meryl Streep, Paul Giamatti…
Synopsis:
Après que Lucas ait terrorisé une colonie de fourmis, celle-ci décident de se venger. Elles vont le punir le jeune garçon va se voir rapeticer pour rejoindre le monde de l’infiniment petit: celui des insectes, pour un voyage initiatique qui l’amènera à changer! Le site officiel
Son nom est Tsotsi
Titre original : Tsotsi – Réalisation/ Scénario : Gavin Hood – d’après le roman de Athol Fugard – Production : Peter Fudakowski – Sortie : 19 juillet 2006 (France) – Durée : 94 min
Synopsis:
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