Love and other drugs

Titre Français: “Love et autres drogues” (à quoi bon traduire??) – Comédie Romantique 20px-Flag_of_the_United_States.svg Love and other drugs – Réalisation : Edward Zwick – Scénario : Charles Randolph, Edward Zwick et Marshall Herskovitz, d’après le livre – Avec : Jake Gyllenhaal, Anne Hathaway, Josh Gad, Judy Greer, Gabriel Macht, Oliver Platt, Hank Azaria, George Segal, Jill Clayburgh, Katheryn Winnick, Jaimie Alexander, Nikki DeLoach – Sortie : 29 décembre 2010love_and_other_drugs_wallpaper_03 Love and other drugs

Synopsis

Dans les années 90 Jamie (Gyllenhaal) est un vendeur dans l’audio-vidéo qui vit simplement sa vie, ce qui n’est pas assez pour ses parents. Plus occupé par ses performance sexuelle et ses habiletés en séduction, il va par défaut choisir de s’orienter vers le métier de visiteur médical, pour un certain groupe Pfizer. S’il rame beaucoup il finit peu à peu à rencontrer le succès, et surtout Maggie (Anne Hattaway), première fille qui lui résiste enfin! Celle-ci s’affirme malgré sa maladie, Alzheimer, et vie au jour le jour, à l’image de Jamie. Mais leur relation d’abord sexuelle, put-elle faire abstraction des sentiments?   

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Petite Critique:

Encore une fois adaptée d’un bouquin (Hard Sell: The Evolution of a Viagra Salesman, de Jamie Reidy) cette comédie romantique est assez juste et montre un féminise assuré de la part du personnage d’ Anne Hattaway qui se blinde sentimentalement, mais choisit de vivre sa sexualité sans fioriture. Le tout est souriant, sans virer dans l’exagération. On y évoque avec justesse la relation et les différences, celle du handicap entre autre, et les rires pourront faire place à une larme (hein Laurence). A voir en V.O!

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Raiponce

Titre orignal : Tangled – Animation 20px-Flag_of_the_United_States.svg Raiponce – réalisé par Byron Howard et Nathan Greno – Produiction: studios Disney – Sortie : 01/12/2010 – Voix : Maeva Méline, Romain Duris, Emmanuel Dahl, Isabelle Adjani, Sophie Delmas

raiponce-disney RaiponceSynopsis :

Tout se passe pour le mieux dans un petit royaume perché sur une colline, en bord de mer. Le roi et la reine sont aimés de tous, et l’annonce de la naissance de leur premier enfant, une petite fille est une fête. Mais malade, la reine ne doit son salut que grâce à une plante unique dont les pouvoirs viennent du soleil lui-même. Cette fleur gardée jalousement fait la convoitise de Gothel, une sorcière dont le seul désire est de rester éternellement jeune.

Celle-ci enlève donc le nouveau-né pour bénéficier des pouvoirs de jouvence contenus dans sa blonde chevelure. Le temps passe et Raiponce, c’est le nom de la jeune fille, ne souhaite qu’une chose: voir le monde à l’extérieur de sa tour dans laquelle elle est “à l’abri”. C’est alors que débarque Flynn Rider , bandit recherché et potentiellement le guide inespéré pour découvrir le monde…

Petite Critique:

Raiponce, encore plus en 3D, est un bon divertissement. On sent là une évolution des Studios Disney qui tendent à proposer des personnages plus profonds et avec des discours résolument plus modernes. Raiponce est certes naïves, mais pourtant elle ne se laisse pas facilement duper ou séduire par exemple. L’animation est de plus en plus travaillée, avec une scène du Roi la larme à l’œil qui est bluffante!  Reste que le scénario est léger, et que l’histoire inspirée de l’adaptation du conte éponyme “Rapunzel des frères Grimm, était elle plus complexe. C’est souvent le cas avec Disney, qui à vouloir faire simple en oublie l’essentiel des histoires originelles… C’est une certaine Mandy Moore qui prête sa voix et pousse la chansonnette sur la version originale…

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Narnia: “l’odyssée du passeur d’aurore”

Titre original : The Chronicles of Narnia : The Voyage of the Dawn Treader – Réalisation : Michael Apted – Producteurs : Andrew Adamson, Mark Johnson – Scénario : d’après le roman de C.S. Lewis – Société de production : 20th Century Fox & Walden Media – Pays d’origine : 20px-Flag_of_the_United_States.svg Narnia: “l’odyssée du passeur d’aurore” États-Unis – Genre : Fantastique, aventure  – Durée du Film : 1h55 – Date de sortie : 20px-Flag_of_France.svg Narnia: “l’odyssée du passeur d’aurore” France : 8 décembre 2010 Distribution : Twentieth Century Fox

Le-Monde-de-Narnia--L-Odyssee-du-Passeur-d-aurore Narnia: “l’odyssée du passeur d’aurore”

Synopsis :

Londres, 2nde Guerre Mondiale. Les avions survolent la ville, en tension. Edmund et Lucy ont emménagé provisoirement chez leur oncle et tante. Susan et Peter, plus âgés ont suivi leurs parents aux Etats-Unis. Les 2 deux jeunes s’ennuient et repensent à leurs aventures passées dans le monde de Narnia. Affublé de leur insupportable petit cousin, ils vont vite replonger dans le monde fantastique, pour une quête qui les embarque sur le “passeur d’aurore” pour les mers de Narnia…

Petite Critique:

Ce 3ème chapitre de la série est marquée par l’absence de deux personnages centraux qui étaient présents dans les 2 premiers. La réalisation a géré cette perte de manière un peu bancale car on sent que des rappels sont là pour ne pas déstabiliser le public.

L’histoire est somme toute basique et l’intérêt premier réside surtout dans les effets spéciaux et le visionnages en 3D. Dans cette histoire, les personnages doivent faire face à leurs propres craintes et doutes, l’envie de plaire ou de ressembler à sa soeur pour Lucy, le besoin de reconnaissance pour Edmund. Le nouveau personnage du cousin, qui devrait perdurer pour la suite n’emballe pas des masses. L’ensemble reste bien en dessous des deux premiers opus.

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Harry Potter and the Deathly Hallows (pt.1)

19590744 Harry Potter and the Deathly Hallows (pt.1)Long-métrage américain , britannique – Genre : Fantastique , Aventure – Durée : 02h25min – Réalisé par David Yates – Année de production : 2010 – Distributeur : Warner Bros. France – Sortie : 24/11/2010 – Avec : Daniel Radcliffe, Rupert Grint, Emma Watson, Ralph Fiennes, Alan Rickman, Tom Felton (…)

Le synopsis

Depuis la marque des ténèbres apparue dans le ciel (épisode 6), tous les sorciers ont enfin accepté l’idée que Voldemort est réapparu. Mais il est bien tard. Le pouvoir de ce dernier s’étend et a infiltré toutes les institutions, depuis le Ministère de la Magie à l’école de Poudlard.

Alors que tout les force à s’isoler de leurs proches et de ceux qui pourraient encore les aider, Harry, Hermione et Ron partent pour tenter de retrouver les derniers Horcruxes, tous porteur d’une partie de l’âme de Voldemort pour tenter de le détruire. Mais la quête est longue, et leur fuite est l’occasion de se remettre en question, le moment aussi de devenir plus adulte…

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Petite Critique

Le tome 7 de J.K. Rowling est certainement le plus ennuyeux de tous. Il ne s’y passe rien sauf dans les quelques dernières pages. Tout n’est qu’attente et désillusion, tant pour les personnages que pour le lecteur. Aussi à l’annonce de deux films pour clore la saga, je restais perplexe! Et David Yates de me surprendre avec un film de 2h et quelques qui parvient à combler les lacunes du livre presque! Il arrive tout aussi bien à traduire l’attente, le doute qui s’installe, avec des scènes très européennes dans leur traitement, et  nous faire rire ou nous procurer l’action nécessaire pour ne pas nous laisser en reste! Une seule envie: voir la suite et fin en juillet!!

19537991 Harry Potter and the Deathly Hallows (pt.1)19537992 Harry Potter and the Deathly Hallows (pt.1)19537993 Harry Potter and the Deathly Hallows (pt.1)

Le site officiel http://www.harrypotter.fr/

La page Wikipedia : http://en.wikipedia.org/wiki/Harry_Potter

La page officielle YouTube (extraits de film) : http://www.youtube.com/user/harrypotter

Konferenz der tiere : animation allemande

Le dernier single de Xavier Naidoo est un “duo” avec lez collectif Naturally 7, celui-là même qui s’est fait remarqué sur Youtube avec ses vidéos de chansons a capella dans les rues ou le métro parisien! L’occasion d’annoncer la sortie prochaine en février du film “Konferenz der Tiere” (Animaux et cie) dont le titre servira de BO!

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New horizon is the english version of “wild vor wut”

Il est assez rare de voir une animation, et même un film outre-Rhin bénéficié d’une diffusion mondiale alors autant le souligner, car visiblement celui-ci tiendra la tête au créations américaines, avec un discours écolo supporté par le WWF:

“This is dawning of the age of the animals
The new leader of the world will be one of us
You had your chance, but you bulit bombs to bring hell on us
You hung a bell on us
We won´t take prisoners”

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Tamara Drewe

image_thumb[2] 52D395B4 Tamara DreweDate de sortie cinéma : 14 juillet 2010 – Réalisé par Stephen Frears – Avec Gemma Arterton, Roger Allam, Bill Camp, Dominic Cooper, Tamsin Greig – Long-métrage britannique . Genre : Comédie – Durée : 01h49min Année de production : 2009 – Distributeur : Diaphana Distribution

Synopsis

Beth Ardiment tient une maison d’hôte à la campagne avec son romancier de mari. Cette demeure à la campagne est le havre de paix rêvé aux écrivains en herbe en manque d’inspiration. Inspiration qui va bientôt s’emparer de tout les villageois, lorsque Tamara Drewe, une journaliste de presse-people accessoirement jolie, revient habiter la maison de sa mère. Qu’ils soient rustres ou branchés, rock-star ou “pseudo” romancier, tous vont finir dans la toile de cette étrange créature, qui peut-être malgré elle, sème la zizanie!

 

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Petite critique

image_thumb5b75d36ae9cfd Tamara Drewe

Tamara Drewe est à la base une bande dessinée, que Stephen Frears (Les liaisons dangereuses, Les arnaqueurs, The Queen…) a décidé d’adapter pour le grand écran.

 Si le synopsis semble clair dès le départ, le film semble suivre de si prêt tous les personnages, qu’on en finit par se dire que Tamara est aussi secondaire que les autres. On passe beaucoup de temps autour de deux adolescentes paumées, ou Beth qui se ment à elle même en niant les tromperies de son mari.

Les hommes, eux, tombent dans les draps de Tamara sans qu’on comprenne ce qu’elle leur trouve ou l’intérêt (surtout quand on la voit avec le dégoulinant Nicholas)…

On gardera quelques répliques bien senties et des dialogues drôles, pour le reste, sorti de la salle on se demande un peu quelle était l’hisoire finalement de cette dille, qui aurait pu virer dans le dramatique ou le passéisme, mais il n’en est rien… Malheureusement !