Big Hero 6

Genre: Animation – Pays: 20px-Flag_of_the_United_States.svg Big Hero 6 États-Unis – 2014 – Réalisé par: Don Hall, Chris Williams – Scénario: Jordan Roberts, Dan Gerson, Robert L. Baird Prodcution: Walt Disney Pictures, Walt Disney Animation Studios – 2h35 – Budget: 165 M$ – Sortie: 01/11/2014 – Avec les voix de: Ryan Potter, Scott Adsit, Daniel Henney, T. J. Miller, Jamie Chung, Damon Wayans, Jr., Génesis Rodriguez, Maya Rudolph, Alan Tudyk, James Cromwell

hello_baymax_poster_bh6 Big Hero 6

http://movies.disney.com/big-hero-6/

Synopsis:

Hiro Hamada vit depuis la mort de ses parents avec son frère Tadashi, un étudiant en robotique, chez sa tante, propriétaire d’un café-restaurant dans la ville futuriste de San Fansokyo. Plus intéressé par les combats de robot, que par les études de son frère, le jeune ado de 14 ans va se laisser séduire lorsqu’il découvre ce que Tadashi a créé: un robot assistant médical, mais aussi ses camarade. Il va alors sérieusement s’investir de nanotechnologie qui doit voir des micro-robots téléguidés par la pensé.

Son projet est un succès lors de la annuelle organisée, mais la joie est de courte durée quand Tadashi meurt accidentellement dans l’incendie que voit aussi les petits robots partir en fumée. Triste et renfermé, Hiro va peu à peu reprendre le sourire, grâce à l’étrange robot BayMax laissé par son frère. Partis tous les deux dans une quête banale, ils vont découvrir qu’un étrange homme masqué continue de produire en nombre les nano-robots.

Si le jeune garçon ne peut combattre seul cet homme, il entrevoit vite les possibilités de faire évoluer BayMax, dévoué initialement aux soins, vers une arme de combat! Rejoint par les amis de son frère ainé, appuyé par leurs savoirs à tous, ils vont rapidement se transformer en « nouveaux héros » afin de démasquer les desseins de l’homme mystérieux…

Les Personnages:

La Petite Critique:

54ème film des studios d’animation Disney, Big Hero 6 est à l’origine un groupe de super-héros, pendant japonais des Vengeurs de la côte ouest (Avengers)! Le scénario diffère vite, puisque l’histoire se déroule dans une ville pseudo fictive américaine, contraction de San Francisco et Tokyo…

Passé ce détail, le film est d’une qualité exceptionnelle, tant les images des rues et extérieurs vous feront douter d’être encore dans de l’animation. Côté scénario, le film aborde la séparation et le deuil, chez un adolescent déjà bien esseulé. On ne reste bien évidemment pas dans les larmes avec des scènes très drôles, un peu loufoques, et un BayMax pour lequel les spectateurs au premier rang desquels les enfants, vont forcément s’attacher! Le générique lui est signé par le groupe Fall Out Boys!

Le sel de la Terre

Genre: Documentaire – France/Brésil/Italie – 2014 – Réalisé par: Wim Wenders & Juliano Ribeiro Salgado – Scénario: Juliano Ribeiro Salgado, Wim Wenders, David Rosier – Directeur de la photographie: Hugo Barbier, Juliano Ribeiro Salgado – Montage: Maxine Goedicke, Rob Myers – Musique: Laurent Petitgand – Durée: 1h49 – Sortie : 14/10/2014affiche_le_sel_de_la_terre Le sel de la Terre

 Site officiel Le Pacte

Synopsis:

Wim Wenders réalisateur et photographe allemand est frappé un jour par une photographie lors d’une exposition, celle d’une femme Touareg aveugle, qui va le conduire à découvrir un photographe franco-brésilien: Sebastiaõ Salgado! Wenders va en compagnie de Juliano Ribeiro Salgado suivre le photographe et en dresser un portrait croisé, au travers de ces différents albums.

Né dans une petite ville du Brésil, peu passionné par les études, c’est finalement l’économie qui va intéresser Salgado, et lui permettre de comprendre l’évolution du monde et les rapports humains. Mais dans les années 60, face au régime de plus en plus répressif, c’est en France qu’il émigre avec son épouse. Economiste, il va travailler à Londres au montage de programmes sur la nutrition et l’éducation qui vont le conduire à découvrir l’Afrique, toujours accompagné de son appareil photo. C’est là que va naitre d’abord une passion, puis l’envie de faire découvrir au monde ce qu’il voit à travers son objectif.

Salgado va marqué de son empreinte l’histoire en étant le témoin des grands évènements géo-politiques du globe avec 4 grands projets :

Autres Amériques (1986) : ne pouvant encore retourner dans son pays d’origine, Salgado décide d’en contourner les frontières, et s’attarder sur les pays limitrophes, tout autant marqués par les changements sociaux, que conservant des communautés très ancrées dans les traditions anciennes.

Sahel: l’homme en détresse (1986): alors que l’Ethiopie est touchée par une sécheresse sans précédent, et que l’eau devient une denrée rare, Salgado sur place découvre les enjeux politiques et les premiers massacres d’humains.

La main de l’homme (1993): marqué dans son enfance par l’industrialisation de son pays (plus grande ressource minière du monde), Salgado entreprend de capter ses évolutions qui transforment notre environnement.

Exodus (2000): l’œuvre la plus engagée, sans doute, montrant à la face du monde toutes les populations déplacées pour une raison  ou pour une autre, d’Europe, en Afrique. 

C’est finalement avec la nature, celle de sa ferme d’enfant dont il entreprend avec son épouse la reforestation, et la photo d’animaux, que Salgado encore tout récemment retrouve foi en l’humanité…

La Petite Critique:

Avec ce documentaire, Wenders et Salgado (fils) tentent de nous transporter dans le projet de toute une vie, celle d’un humaniste armé de son appareil photographique pour montrer et dénoncer les travers de l’homme.

C’est avec un double regard, mais aussi l’exploration de ses clichés, que le film vous fera voyager dans 40 ans d’histoire, souvent dure et violente, mais aussi tendre et touchante avec ce rapport des femmes et les enfants dans les guerres, ou ces gorilles au regard plus humain encore. Un documentaire magnifique qui m’incitera forcément à me plonger dans les albums photo de Sebastiaõ Salgado… 

Retrouvez l’interview des deux réalisateurs dans les carnets du monde [Europe1] du 11/102014

Daredevil – Netlfix teaser

C’est le 10 avril qu’une fournée de 10 épisodes de la séries évènement Daredevil débarquera sur la plateforme de vidéo à la demande Netflix! Un premier teaser vient nous donner l’eau à la bouche, avec une atmosphère sombre et qui n’aura pas de mal à nous faire oublier le film bâclé de 2003 avec un Ben Affleck affligeant à l’époque…

Retrouvez les infos sur le site Marvel

Katy Perry enflamme le Super Bowl

Il  y a des traditions ancestrales autour du plus gros évènement sportif américain le plus médiatique : le Super Bowl! Il s’ouvre d’abord avec l’hymne national, et cette année c’est la chanteuse Indina Menzel (responsable du « Let it go » du film Frozen) qui s’y est collée. Le match est bien évidemment l’occasion de voir avant pendant et après des spots de pub démentiels qui coutent une fortune (au royaume du libéralisme ça s’impose)…

Katy_Perry_-_Super_Bowl_XLIX_Halftime_04-300x218 Katy Perry enflamme le Super Bowl

Mais le clou du spectacle est depuis plusieurs années qui ferait presque de l’ombre à cette finale de football américain (ha oui au départ c’est bien d’un matche de football américain dont il s’agit). Place au show, à l’ « enternaiment » et à la chanson ! Et de ce côté là, le moins que l’on puisse dire c’est que Katy Perry a assuré! On aime ou on n’aime pas, mais on ne pourra qu’halluciner sur un show de 12 minutes et 20 secondes pendant lesquelles elle revisite sa discographie, monte sur un tigre géant, change 5 fois de tenue, se paye Lenny Kravitz et Missy Elliott, avant de s’envoler dans les airs pour son Firewok (et feu d’artifice…)!

Into the woods

Genre: Comédie musicale – Pays: Etats-Unis 20px-Flag_of_France.svg Into the woods – 2015 – Réalisé par: Rob MarshallScénario: James Lapine – Prodcution: Walt Disney Pictures, Lucamar Productions – Durée: 2h04 – Sortie: 14/01/2015 – Avec: Meryl Streep, Emily Blunt, James Corden, Anna Kendrick, Chris Pine, Tracey Ullman, Christine Baranski, Johnny Deppinto_the_woods_ver12 Into the woods

La page officiel du film

Synopsis:

Le boulanger et son épouse pourraient être heureux, mais voilà: depuis leur mariage, aucun enfant n’est arrivé… Jack est un garçon intrépide, mais seul avec sa mère, il n’a pour ami que « blanchette » une vache qui refuse de donner du lait.

Cendrillon est l’esclave de sa tante et ses cousines qui la maltraitent et l’exploitent, alors que les fêtes du Prince arrivent à grand pas. Enfin le petit chaperon rouge doit se rendre auprès de sa grand-mère.

Tous ces personnages dont les histoires résonnent dans l’imaginaire collectif, ne souhaitent qu’un chose: une vie bien différente. Et c’est ce qui va les conduire à se croiser dans les bois, ce lieu mystérieux qui semble les influencer et les amener à se rencontrer.

Leur destin est d’autant plus lié que la sorcière a confié une mission au couple de boulanger: celle de réunir une vache blanche, une cape rouge comme le sang, des cheveux blonds comme le blé, une chaussure dorée comme l’or, s’ils veulent rompre le sort qui pèse sur eux….

La Petite Critique:

En portant à l’écran les personnages de la comédie musicale du même nom, Marshall n’en est pas à son coup d’essai! Il avait déjà participé au téléfilm Cinderella (Withney Houston, Brandy Norwood), ou réalisé le film chantant « Chicago ».

Mais c’est sans doute la maison-mère qui revient à ses fondamentaux, trop longtemps oubliés au profit de l’animation. Ici tout n’est pas parfait : les relations entre les boulangers sont ténues, le petit chaperon rouge est une menteuse et voleuse, et surtout les personnages peuvent mourir ou se tromper!

La morale est bien sûr présente, celle de l’éducation et des choix que l’on fait en tant que parent, ce que l’on transmet à ses enfants… Car tout cela a bien évidemment des conséquences sur nous adulte…

We Are The World: 30 ans déjà!

Composé par Michael Jackson et Lionel Richie dans la hâte, face aux images d’une Afrique qui meurt de faim, ce titre humanitaire fait partie des 30 chansons qui se sont vendues à plus de 10 millions d’exemplaires dans le monde! C’est fin janvier 1985, il y a donc 30 ans que des dizaines d’artistes se sont réunis sous le collectif « USA for Africa » et ont repris cet hymne devenu incontournable, sous la houlette de Quincy Jones.

https://www.youtube.com/watch?v=P2H6mpUnsLI

Le King of Pop a toujours cherché à composé un morceau qui serait un hymne international. Dès 1984, le morceau « Be not always » figure en bonne place sur l’album des Jacksons Victory. Il est déjà question de paix, d’écologie, d’interrogation sur le progrès; et chaque album solo qui suivra inclura ces thèmes: « Man in the Mirror », « Heal the Wolrd », « Earth Song », « We’ve had enough »…

En 2000 face au tremblement de terre qui a ravagé Haïti, les artistes américains et latino-américains décident de relancer un We Are The World et collecter des dons pour la reconstruction de l’île…

Ces deux adaptations incluent la présence de rappeurs, totalement ignorés au début des années 80!

Fantastic Four – reboot 2015

Le premier trailer d’un des prochains films Marvel a été révélé: celui des 4 fantastiques. Josh Trank (réalisateur de Chronicle) et Simon Kinberg (X-Men: Days of Future Past), se sont appuyer sur les histoires de Unltimate Fantastic Four, pour réinventer l’histoire et la rendre plus contemporaine. L’affiche, le teaser comme la musique choisis, donnent un ton très dramatique! Verdict: au mois d’août dans les salles de cinéma! fantasticfour-teaser Fantastic Four - reboot 2015

http://www.fantasticfourmovie.com

How did we get this far? Human beings have immeasurable desire to discover, to invent, to build… Our future depends on us furthering these ideas. Our responsibility that rests on the shoulder of générations to come. But with every new discovery, there is risk, there is sacrifice, and there are conséquences!

Comment en est-on arrivé là? Les êtres humains ont cet incommensurable désire de découvrir, d’inventer, de construire… Notre futur dépend de notre capacité à aller plus loin dans ces idées. Mais avec chaque nouvelle découverte, il y a un risque, il y a un sacrifice, et il y a des conséquences…