En attendant la sortie de Songs for You, Truths for Me, second album du talentueux James Morrison, voici le 1er extrait, You make it real:
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En attendant la sortie de Songs for You, Truths for Me, second album du talentueux James Morrison, voici le 1er extrait, You make it real:
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Et hop! Une 20ème édition de SéRiEs NiOuZeS avec des infos orientées SF et Fantastique cette semaine!
Ca se précise! La rentrée est proche. Les chaines américaines préparent le retour de leurs séries phares et quelques nouveautés, pour notre plus grand plaisir! Mais alors que Seules SciFi et ABC Family démarrent leur saison, il faudra attendre mi-septembre pour les block-busters télévisuels… Attendre… Hmmm. Rassurez-vous les networks ont décidé de distiller des infos, des “buzz”, afin de susciter votre envie…
Vidéofilm – SF – Sci-Fi channel – réalisé par Martin Wood entre juin 2007 et début 2008 – sortie DVD en France : sept. 2008. Avec : Richard Dean Anderson, Ben Browder, Michael Shanks, Amanda Tapping, Christopher Judge, Beau Bridges, William Devane – Filmé en Colombie Britannique, Canada, bords de l’Arctique.
***Attention Spoilers***
Synopsis:
Ba’al le dernier Maître Goa’uld vie ces dernières heures. SG-1 va assister à la “cérémonie de l’ extraction”, autrement dit la comdamnation à mort du symbiote qui occupe son corps. Alors que la cérémonie touche à sa fin, Vala et Teal’C disparaissent mystérieusement tour à tour. Le général O’neal est laissé pour mort. Carter, Daniel et Mitchell n’ont d’autre choix que de fuire par la porte des étoiles vers la Terre… Ils se retrouvent plusieurs années en arrière, avec un monde où le programme Stargate n’a jamais existé! Ils doivent convaincre les autorités de la véracité de leur dire et retrouver une porte avant que la terre ne soit envahie…
Commentaires:
Cette histoire revisite le voyage dans le temps en posant la question fatidique: et si tout cela n’ était pas arrivé? Je reste pour ma part à la fin du visionnage sur une satisfaction bien plus grande que pour le précédent, The Arch of Truth, à mon sens bâclé. C’est aussi l’ occasion de revoir le personnage d’ Apophis qui a marqué les débuts de la série. Un bon épisode qui fera encore plus regretté la fin de cette série SF
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Film américain réalisé par Peter Berg, sorti le 2 juillet 2008 aux États-Unis et le 9 juillet 2008 – avec Will Smith, Charlize Theron , Jason Bateman – Site officiel
John Hancock est tout sauf ordinaire. Si dès le début du film présenté comme un poivrot, éméché sur un banc, il est en fait un super-héros affublé d’ une invincibilité hors norme et de la capacité de voler! Bref, un Superman, en moins populaire! Car hancock a ceci de particulier que malgré le fait d’ aider les gens, il ne le fait pas sans casse et sans conséquences!
Au summum de son impopularité, il croise la route de Ray, un consultant en communication utopiste qui cherche à associer des grandes entreprises à des actions humanitaires… Alors qu’ il est coincé sur une voie ferrée, il est sauvé par Hancock, d’ une façon toujours aussi peu “héroïque”. Pour le remercier, et se lançant sans doute un nouveau défi presque insurmontable, Ray se met en tête de réhabiliter Hancock…
Avec 150 millions de budget et un casting relativement intéressant, le film aurait pu être bon! Mais ça ne reste qu’ un bon divertissement. D’ abord irascible, associable et parfaitement “con” le personnage d’ Hancock se laisse attendrire, on ne sait finalement pas trop pourquoi, par une famille modèle. Certes il y a un rebondissement qui nous dévoilera le passé et une partie des origines du héros, mais quand même cela passe bien vite et au final on reste encore bien frustré. Ses manières sont bien trop simplistes et le personnage bien peu fouillé pour qu’ on est même envie de s’ y attacher! Nan finalement la seule surprise reste encore dans les traits des deux rôles secondaires, celui de Charlize Theron (mais comment dire, quoi qu’elle fasse…) ou d’ un Jason Bateman qui a pris de l’ âge depuis son 1er rôle à la télé dans Silver Spoons (Ricky ou la belle vie)!
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Une fois n’ est pas coutume, Dimanche a été culturel! En compagnie de Bridgette, Nadia, Khoushik et Bruno, nous avons pris la voiture sur la route du soleil. Destination: Avignon, histoire de voir le fameux pont et cette cité qui a abrité pendant quelques années de nombreux papes en France…
Située au confluent du Rhône et de la Durance, la ville est tout à la fois limitrophe du Vaucluse et du Gard. Proche d’ Orange et de son concile, la cité est incontestablement marquée par la religion chrétienne et son premier évêque remonte à 441 après JC. Mais c’ est surtout le 14ème siècle qui va transformer la ville d’ Avignon et en faire un carrefour de la culture et du commerce, jonction entre le Nord et le Sud de l’ Europe.
Au départ escale des Papes de Rome venus du mont Vatican, la cité va devenir leur fief et leur résidence officielle, car » Rome est là où sont les Papes »:
Tous résideront donc dans la ville, qu’ ils vont transformer avec de nouveaux remparts et surtout enrichir leur Palais, chacun apportant sa pierre à l’ édifice, avec de nouvelles salles ou de nouvelles tours, marquant la puissance de l’ Eglise à l’ époque. Il sera tout à la fois lieu de résidence donc, mais aussi tribunal religieux, sans appel, lieu de fêtes et de repas gargantuesques et collecte des impôts de tous les Etats assujettis! Le lieu impressionne forcément par sa taille et le nombre de salles présentes. Sa cour principale est utilisée aujourd’hui pour les nombreux spectacles du festival, avec des gradins métalliques (pas du meilleur goût) installés à cet effet…
Le grand Schisme sera l’ occasion du retour des Papes, mais la fin du 16ème siècle consacrera définitivement Rôme comme capitale de la chrétienté.
Quelques photos de la journée …
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Juste à la sortie de la ville, se trouve le fameux pont de Saint-Bézenet (ou pont d’ Avignon) détruit à plusieurs reprises par les débordement du fleuve et laissé tel quel. Il est devenu le St Patron des marins du Rhône… A quelques kilomètres de là tout proche du Pont du Gard, de trouve Uzès une petite ville ancienne et surtout son musée du bonbon, car oui Haribo a un musée consacré aux plaisirs gélifiés et acidulés…
Soirée totalement imprévue, comme je les aime et qui sont ma foi coutume chez moi: on m’ appelle pour me proposer le dernier soir des Nuits de Fourvière! Pas le temps de regarder sur mon agenda: je n’ ai encore pas mis les pieds dans cette arène depuis 30 ans aussi c’ est l’ occasion d’ enfin apprécier l’ acoustique de ce lieu!
La soirée sera forcément festive: les artistes de ce soir sont tous de langue portugaise, avec des genres très différents:
Mayra Andrade est Cap-Verdienne. Si son premier opus intitulé "Navega" (sur les flots) est sorti en 2006, elle tourne depuis en fait bien plus longtemps, s’ étant construit une forte notoriété dans les différents pays qu’ elle a pu visiter depuis sa jeunesse. Née à Cuba, vivant au Cap Vert, elle s’ est sans doute inspirée de l’ Angola, le Sénégal, l’ Allemagne ou la France où elle a fait escale. Elle montre sa force résistant aux pressions d’ un album nécessaire et prend le temps (6 ans) de produire celui qu’ elle veut vraiment et part avec en tournée aux États-Unis, en Suède et obtient des prix étrangers! La jeune Mayra vit ses chansons un peu à la manière de ces chanteuses de Fado (la Morna est un style qui s’ en rapproche d’ ailleurs) ou peut-être de Soul, inspirée. Les sons jazzy, brésiliens se mêlent pour soutenir des textes qui parlent d’ amour, bien sûr, ou de démocratie. La petite surprise est le seul et unique titre en français parmi 12 plages de l’ album, écrit par Tété! Si l’ album est savoureux, rien ne vaut le spectacle de ce soir en compagnie de cette voix chaude qui en fait déjà une diva!
Babrbatuques est un groupe de percussionnistes de Sao Paulo. Jusqu’ ici rien d’ original, si ce n’ est que leurs instruments sont leur corps dont ils utilisent à peu prêt toutes les parties! 13 personnes sur scène pour un moment décalé, original, qui n’ hésitent pas à vous faire participer. Même des applaudissements peuvent être avec eux rythmés et dansant… Né en 1996, la formation a évolué autour d’ artistes à la recherche de connaissances sur les sons et la rythmique. Elle continue donc à être tout à la fois artistique et pédagogique. Un vrai moment de détente sur scène, qui entraînent parfois les rires. Comme le disait bien Adèle ce soir, la différence avec d’ autres formations du même genre tient peut-être de son origine et de ses choix musicaux. Le Brésil reste omni-présent malgré tout et ces musiciens rajouteront de la flûte ou guitare ponctuellement pour accompagner des voix intéressantes!