Le premier trailer d’un des prochains films Marvel a été révélé: celui des 4 fantastiques.Josh Trank (réalisateur de Chronicle) et Simon Kinberg (X-Men: Days of Future Past), se sont appuyer sur les histoires de Unltimate Fantastic Four, pour réinventer l’histoire et la rendre plus contemporaine. L’affiche, le teaser comme la musique choisis, donnent un ton très dramatique! Verdict: au mois d’août dans les salles de cinéma!
How did we get this far? Human beings have immeasurable desire to discover, to invent, to build… Our future depends on us furthering these ideas. Our responsibility that rests on the shoulder of générations to come. But with every new discovery, there is risk, there is sacrifice, and there are conséquences!
Comment en est-on arrivé là? Les êtres humains ont cet incommensurable désire de découvrir, d’inventer, de construire… Notre futur dépend de notre capacité à aller plus loin dans ces idées. Mais avec chaque nouvelle découverte, il y a un risque, il y a un sacrifice, et il y a des conséquences…
En 2043, l’essentiel de la population a été décimée par un virus jusque là inconnu. Seuls quelques humains ont pu survivre à cette pandémie. James Cole (Aaron Stanford), alors emprisonné se voit offrir un choix: celui de rester croupir dans une cage, ou servir de cobaye à une expérience toute particulière: remonter dans le temps et tenter de changer le cours de l’histoire…
Alors que la technologie existe, elle n’est encore que peu maitrisée, et Cole atterrit au gré de la machine, d’abord en 2013, où il fait la rencontre du docteur Cassandra Raily (Amanda Schull), dont on a seulement une bande audio dans le futur, évoquant un complot.
Mais la date choisie est trop tôt: Cassandra n’est encore au courant de rien et ne connaît pas l’étrange Monsieur Goines. C’est donc deux ans plus tard, en 2015, que Cole rencontrera de nouveau la jeune chercheuse. Après avoir identifié Pallid Man (l’homme au teint livide) comme cible à éliminer, Cole organise un plan, qui en bout de course s’avèrera vain: peut-on seulement modifié le passé??? Et qui se cache derrière l’étrange organisation désignée comme « armée des 12 singes »?
La Petite Critique:
Si le nom doit sûrement vous rappeler un film avec Brad Pitt, il faut se rappeler que l’histoire s’inspire d’un roman-photo cinéma français des années 60! Syfy diffuse aux Etats-Unis, et en France 5 jours après, en exclusivité, cette série post-apocalyptique, basée sur les théories du voyage dans le temps.
Elle est l’occasion de mettre les personnages principaux face aux questions existentialistes du changement, du destin ou d’une seconde chance possible.
On retrouve au casting le geek révolutionnaire de la série Nikita, Aaron Stanford, tout comme son compère Noah Bean. A retrouver tous les mardis soir sur Syfy (Canalsat).
Retrouvez les infos et actualités autour de la série: Street‘N’Sports
Leonardo Da Vinci a été dès sa plus tendre enfance, victime de l’abandon. Celui de sa mère d’abord, alors qu’il n’était qu’un bébé, celui de son père qui trop occupé, décide de le confier à Verocchio, dont il devient apprenti.
Aujourd’hui adulte dans une Florence à son apogée économique, Leonardo est en proie perpétuelle avec ses démons. Il s’abandonne alors très facilement à des drogues pour échapper à son quotidien, ce qui ne l’empêche pas sa très grande activité intellectuelle qui se traduit par sa peinture, mais aussi ses inventions avant-gardistes.
C’est par la peinture, qu’il va séduire Lucrezia, courtisane de Lorenzo Medici, et se rapprocher du pouvoir pour proposer ses services en tant qu’ingénieur militaire.
Mais la ville de Florence attire bien des convoitises, à commencer par le pouvoir de Rome et le Vatican (Le Pape Sixtus IV) qui ne voient pas d’un très bon œil le développement de cette cité. Les manigances et tentatives de récupérer la ville vont se multiplier, et dans le même temps permettre à Leonardo de démontrer tout son art.
En parallèle de ces complots politiques, aidés par ses assistants et amis Nico et Zoroaster, il se lance dans une quête, celle du « Livre des feuilles » qui va le voir s’opposer au mystérieux culte des fils de Mithras…
David S. Goyer, scénariste de la dernière trilogie Batman, se lance dans la description fantastico-historique de Léonard de Vinci, considéré comme un des plus grands génies de tous les temps. Si la base est historique, le créateur n’hésite pas à prendre des libertés quant aux personnages qu’il a changé ou supprimer. De la même manière, la quête d’un livre qui viendrait bouleverser les religions établies, n’as de pas de fondement réel.
Mais tout cela permet de nous plonger dans une bonne série d’aventure, avec des reconstitutions intéressantes. Il nous plonge aussi dans les méandres de l’esprit torturé d’un savant-fou, souvent plus intéressé par le monde qui l’entoure et son fonctionnement, que par les relations humaines.
Retrouvez les infos sur la série sur le site Street‘N’Sports
Chacun d’entre nous vit une agression, souvent banalisée dans le quotidien de vie des grandes métropoles. On est rejeté pour ses différences, on est insulté au volant de sa voiture, on fait face aux méandres ubuesques des administrations… C’est le point de départ de 6 histoires, 6 tranches de vie de personnages très différents, dans la ville de Buenos Aires, en Argentine.
Face à ces situations, la réponse est souvent l’effacement, rester sur la défensive et intérioriser sa colère. Mais dans ces « récits sauvages » (traduction littérale du titre du film), les personnages vont basculer et passer à l’acte.
La première histoire se focalise ainsi sur un avion dans lequel un modèle et un critique musical vont faire connaissance. Par le plus grand des hasards, ils vont réaliser qu’ils connaissent la même personne, l’ex de l’une, un élève du concours du conservatoire pour l’autre… Mais ils ne sont pas seuls : tous les passagers de l’avion ont eu des relations avec cet homme qui s’avère être celui qui les a invité, et qui mettra fin à leur vie…
S’en suivront un peu comme des nouvelles d’un même recueil des histoires d’amour déçues, de plongée dans le passé, de violence…
La Petite Critique:
Avec ce film présenté à Cannes et aux Oscars dans la catégorie « meilleur film étranger », Szifron nous plonge dans une réflexion autour de nos relations et de cette violence qui sommeille en chacun de nous et que des situations de changements, de stress peut laisser s’exprimer. Mais si vous vous attendez à un film sombre, il n’en est rien.
L’humour noir et grinçant est partout, et permet une critique acerbe de la société finalement, et croyez moi vous arriverez à rire des situations rencontrées tout en vous interrogeant! Le film est proposé en VO dans de nombreuses salles alors foncez écouter en plus cet accent argentin si particulier!!!
Région parisienne, une famille se retrouve dans un cimetière pour l’enterrement du père de Michel. En parallèle, Romain, le petit-fils court pour tenter d’arriver à l’heure. Alors qu’il tente de concilier ses études de littérature et un emploi de veilleur de nuit, il arrive à passer encore du temps avec sa grand-mère Madeleine, qui reste bien seule depuis qu’elle est veuve.
Mais un accident a priori bénin va conduire Michel, en pleine crise alors qu’il démarre sa retraite, et ses frères, à d’abord placé Madeleine en maison de retraite, avant de vendre l’appartement familial. Romain qui reste très proche, tente de lui faire oublier son quotidien en l’emmenant se balader, ou rencontrer l’étrange peintre auteur des toiles qui décorent les murs de l’établissement…
Si Madeleine donne d’abord le change, elle finit un beau jour par fuguer et disparaît de la maison. Romain part alors à sa recherche, en suivant les pistes laissées par sa grand-mère, qui vont le conduire dans son village d’enfance…
La Petite Critique:
En adaptant le best-seller de Foenkinos, Jean Paul Rouve nous offre une comédie dramatique pleine d’humanité qui aborde les relations générationnelles mais aussi le difficile passage à la retraite et la vieillesse. Les acteurs sont tous excellents, à commencer par le duo Annie Cordy / Mathieu Spinosi! Ruez-vous dans les salles pour apprécier ce très beau film!