Orphan Black – Season 1 Episode 1

Action – Suspense – 20px-Flag_of_Canada.svg Orphan Black - Season 1 Episode 1 Canada – 2013 – Créée par: Graeme Manson, John Fawcett – Premiere: 30/03/2013 sur Space et BBC America – Avec: Tatiana Maslany, Jordan Gavaris, Dylan Bruce, Maria Doyle Kennedy

Tv.com Space.caBBC America

Synopsis:

Alors que Sarah, orpheline un peu paumée, tente de fuir le mec du moment, avec la cocaïne qui lui appartient, elle croise le regard d’une femme sur le quai qui lui ressemble étrangement. Cette dernière perdue met fin à ses jours en se jetant sous un train!

Choquée, Sarah dans la précipitation part avec les affaires de cette femme pour tenter de comprendre d’où vient cette ressemblance. Et quoi de mieux que de feindre sa propre mort, et incarner Beth disparue?

Si le but de Sarah était au départ de tourner la page, la voici enfermée dans un rôle qui va avoir des conséquences: Beth est officier de police, elle a un petit ami, bref tout une nouvelle vie à gérer. Mais les problèmes ne s’arrêtent pas là, car d’autres doubles ou clones font leur apparition et semblent être la cible d’un mystérieux tueur! D’où viennent ces fille? Quelle est leur origine et pourquoi veut-on les tuer?  

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La Petite Critique:

Si la série pourrait faire penser à Dollhouse, on va finalement très vite y trouver un autre ton. Le projet canadien, distribué par la BBC donne en effet une atmosphère plus proche des séries britanniques qu’américaines. Tatiana Maslany (Flashpoint) campe le personnage principal, mais aussi tous les clones qu’elle croisera sur sa route. Le tout sans être une révolution se laisse agréablement regardé. La suite au prochain numéro…

Serial Niouze n°58

On ferme! C’est bel et bien fini, et on ne comprend pas vraiment pourquoi la BBC a flingué une des séries fantastiques les plus originales. Après 5 saisons très courtes, des changements de personnages principaux, Being Human a tiré sa révérence, alors que son remake américain peine à convaincre dans sa 3ème saison…

Que le ciel s’effondre… Le retour de Falling Skies (saison 3) c’est pour le 9 juin sur la chaine TNT. En attendant, la prod délivre un trailer pour nous préparer à l’action et la SF de Spielberg… 

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La quête du Graal.. Est revue et revisitée par Channel 4 dans une mini-série, Labyrinth, diffusée à partir de ce week-end, et inspirée du roman de Kate Mosse. On retrouvera notamment John Hurt (Harry Potter) dans un chassé-croisée entre deux époques…

Avant-première mondiale! C’est dans 16 jours maintenant que sortira simultanément et dans tous les pays diffusant la chanine Syfy, Defiance, la série fantastique, mais aussi un jeu vidéo au monde rémanant, dont les univers vont régulièrement se croiser! La convergence des médias est en route, d’autant qu’elle est un bon moyen de casser le piratage en offrant un autre modèle économique!

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=yuCRFaIld_o]

Du vrai sang, de retour sur HBO avec ce trailer exclusif dus site Tv.com et les premières images de la saison 6 de LA série southern gothic, où le gore et le sexe sont de mise, face à des tiwilight ou Vampire Diaries à l’eau de rose…

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30 ans de Moonwalk

Et puis le temps passe! Il faut remonter en 1983, lors de la cérémonie d’anniversaire de la Motown, et voir pour la première fois le King of Pop exécuter son pas le plus célèbre, inspiré par Fred Astaire. En plein hommage avec ses 5 frères, il interprète I want you back, The love you save, Never can say goodbye, et I’ll be there, les chansons qui ont rendu célèbres les Jackson 5.

Puis seul sur scène, il dit avoir adoré ces chansons, mais qu’il préfère les nouvelles, en démarrant une chorégraphie qui pendant près de 25 ans ne changera pratiquement jamais!

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Le chapeau, la veste pailletée, et la “démarches lunaire” ou les pointes devenus des marques de fabrique, ce show était le point d’orgue pour s’affirmer en tant qu’artiste solo, pari réussi, il y a 30 ans le 25 mars 1983… HIStorical !!!

Oz the Great and Powerful

Fantastique – 20px-Flag_of_the_United_States.svg Oz the Great and Powerful Etats-Unis – 2013 – Réalisé par: Sam Raimi – Production: Roth films – Distribution: Walt Disney pictures – Budget: 200M $ –  Avec: James Franco, Mila Kunis, Rachel Weisz, Michelle Williams

disney.go.com/thewizard/

Le synopsis:

Quelque part dans le Kansas du début du 20ème siècle, Oscar Diggs est un prestidigitateur sur le retour, plus enclin à la gente féminine, “les campagnardes”, qu’il séduit facilement, que par le reste du monde. il rêve d’être aussi connu qu’ Edison, sans vraiment s’en donner les moyens et passe donc son temps à berner les gens.

Alors qu’il a fait une proposition de trop à une femme mariée, il est poursuivi par les artistes du cirque dans lequel il se produit. Ne trouvant d’autre échappatoire, il saute dans un ballon qui s’envole droit dans la tornade en cours de formation!

Manquant de se faire tuer, il dévie et s’écrase dans une région qu’il ne connait pas. Un univers particulier où les plantes semblent suivre ses déplacements. Il est rejoint par Evanora, une des trois sœurs sorcière de ce pays qui lui apprend ce qu’est le monde d’ Oz.

Intéressé seulement par l’or et le pouvoir proposé, il se convint lui-même d’être le grand magicien que la prophétie annonce, et part malgré lui, en quête de Glinda la sorcière  suspectée d’avoir tué le précédent magicien.

Diggs va devoir alors choisir un camps et user de tous ses subterfuges pour confondre laquelle des sœurs est du côté du bien…

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La Petite Critique

Le film dirigé par Sam Raimi à qui l’on doit la trilogie Spiderman, s’attaque à un monument: le monde d’ Oz créé à partir de 1900 par L. Frank Baum. Il reprend le premier tome d’une série de 14 livres et fait bien évidemment écho au film de 1939.

L’introduction en noir et blanc et en 4/3 contraste avec l’aventure elle même en couleur et Widescreen, un contraste surlignant les époques, mais faisant aussi écho aux technologies de l’époque. Les effets 3D commencent enfin à être intéressant dans ce film qui dès le générique d’introduction nous transporte.

On retrouve un James Franco à des années lumières de son personnage ringard dans Spring Breakers, faisant cavalier avec Michelle Williams dans une belle aventure, qui mériterait une suite, d’autant que les personnages de l’épouvantail ou du lion peureux et du robot sont esquissés…

Falstaff de Verdi

Opéra en 3 actes – Verdi
Livret: Arrigo Boito
D’après: The Merry Wives of Windsor et des scènes de Henri IV de William Shakespeare
Direction Musicale: Daniel Oren
Mise en scène: Dominique Pitoiset

falstaff_direct Falstaff de Verdi

Falstaff : Ambrogio Maestri

Ford : Artur Rucinski

Fenton : Paolo Fanale

Dottore Cajus : Raul Giménez

Bardolfo : Bruno Lazzaretti

Pistola : Mario Luperi

Mrs Alice Ford : Svetla Vassileva

Nannetta : Elena Tsallagova

Mrs Quickly : Marie-Nicole Lemieux

Mrs Meg Page : Gaëlle Arquez

L’histoire:

Falstaff, c’est ce vieux bourgeois bedonnant que les dépenses inconsidérées ont fini par ruiner, incapable même de payer ses dernières notes à la taverne de la Jarretière où il passe le plus clair de son temps.

Cherchant alors un peu d’argent “facile”, il va se mettre en tête de courtisée deux femmes, Mrs Alice Ford et Mrs Quickly, à qui il fait parvenir un billet doux…

Mais c’est sans compter sur une certaine solidarité féminine, alors que les deux prétendantes, se trouvent être des comères incapables de tenir leur langue et critiquant à tout va! S’apercevant qu’elles sont dupées, elles décident de rendre la monnaie de sa pièce à Falstaff, qui va se retrouver tour à tour jeter avec le linge salle dans la Tamise, ou ridiculiser dans la forêt…

La Petite Critique

Composé à la fin de sa vie, à 80 ans, cet opéra permet à Verdi un exutoire à une vie parsemée de situations douloureuses. Alors qu’il nous a habitué à des opéras plus dramatique, ici c’est la farce qui prime, et on se rapproche presque de l’opérette, tant le propos, les situations mais aussi l’enthousiasme des chanteurs en duo ou en groupe participent à la drôlerie générale! Ambogio Maestri interprète sur les planches de l’Opéra Bastille, un Falstaff ridicule du début à la fin avec brio.

Spring Breakers

Drame – 20px-Flag_of_the_United_States.svg Spring Breakers Etats-Unis – 2013 – Réalisé par: Harmony Korine – Production: Muse productions – 1h32 – Budget: 2M$ – Avec: James Franco, Selena Gomez, Vanessa Hudgens, Ashley Benson, Rachel Korine

springbreakersfrench Spring Breakers

www.springbreakersmovie.com/

Synopsis:

Faith, Candie Britt et Cotty sont des amies de fac qui se côtoient dans la résidence universitaires où elles résident. Alors qu’elles s’ennuient prodigieusement en cours, elles cherchent toutes un peu d’excitation dans leur routine et rêvent d’évasion à l’approche du Springbreak.

Mais partir sur les plages dorées de Floride a un cout, et ce n’est pas le peu d’argent qu’ont ses filles qui suffirait à couvrir les dépenses! Elles vont alors successivement braqué un magasin de quartier, avant de s’en prendre aux clients d’un bistrot local!

Arrivée en Floride, les quatre jeunes femmes sont ivres de nouveauté, de débauche aussi entre les soirées étudiantes, l’alcool et les drogues. Très vite elles assimilent leur rythme vacancier à un mode de vie courant, et perdent tout repère.

Arrêtées pour possession de stupéfiants, dans un Etat à peine hypocrite, elles sont récupérées par un rappeur sur le retour, reconverti en mafieux local! Jusqu’où pousseront-elles le jeu ou l’aventure?

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Petite Critique:

Le moins que l’on puisse dire c’est que la réalisatrice n’y va pas par quatre chemins pour dépeindre une jeunesse américaine désabusée, et dont le destin amoral fait foi! Tout évènement et situation est posé comme sur le fil d’un rasoir avec ces scènes ponctuées par des sons de révolver qu’on recharge.

Filmé presque comme un roman-photo, où se succèdent des images plus que de l’animation, le film voit s’entremêler des scènes de présent et à rebours de celles-ci, ce qui n’est pas pour faciliter l’entrée du spectateur.

On ressortira des salles obscures avec un goût amer tant par la forme que par le propos de ce filme, dans lequel James Franco est méconnaissable et Selena Gomez réussit le pari de casser son image Disney.